[RP] La Cour des Miracles
Page 7 sur 8 • Partagez
Page 7 sur 8 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
Re: [RP] La Cour des Miracles
Qu’il la croit ou pas, elle s’en fiche, il n’en a que pour quelques minutes encore à vivre, et si tout va bien, il ne souffrira pas trop, le poison se propage lentement, mais sûrement, ça marche très bien par la salive, il se diffuse presque aussi vite que dans le sang ! Le récit est bien élaboré, il a l’air de tout avaler, même les mensonges qu’elle s’efforce de rendre crédibles, et ça, ça mérite une médaille !
Non je crois pas l’avoir vu, ou plutôt, si peut être, mais j’en suis pas sûre… Il est pas sur des affiches ?
Il vaut mieux prévenir que guérir, et les affiches étaient bien trop évidentes, pour dire qu’elle les avaient zappées, cependant, à défaut de dire ce qu’elles contenaient, elle pouvait juste signaler qu’elle avait reconnu vaguement son visage qui avait été étalé sur les murs de la ville.
L’héritage du défunt fiancé, intéressaient le Ruffian, à ce stade, elle pouvait tout lui accorder, même la fortune du roi, les cuisses d’Elise, et les biens de la vieille, de toute manière, il allait s’endormir sans plus jamais se réveiller, par contre, pas la peine de lui dire qu’il allait crever, il serait capable de crier… Du moins, pas tout de suite, il vallait mieux attendre qu’il soit incapable de parler !
Il me reste pas grand-chose, à part quelques bijoux, deux à tout casser, un collier et des boucles en saphir ! Si tu les veux je te les donne, on ira les chercher demain, je les ai planqué sous une pierre dans la rue, près de chez le doc !
Les questions fusent, et moi je continue de répondre comme une fifille bien éduquée, ça va pas aller bien loin, on va rester sage j’ai l’impression ! Je le vois prendre un teint bien pâle, livide même, et d’avoir vidé son verre de vin, avec la jarretière trempant dedans, ça va pas l’arranger, vu qu’en la mélangeant avec du liquide, le poison se diffuse mieux ! Je crierais bien ma joie, mais je préfère attendre qu’il soit mort ou presque pour me savoir vraiment libérée de lui.
Je savais même pas qu’Elise était dans le coin ! Quant à ceux qui m’ont rancardé, pas la peine d’aller bien loin… J’ai trainé dans le coin où tu m’a agressée, j’ai causé avec des pauvres bougres à qui j’ai filé un peu de blé, et ils m’ont dit d’passer par ici ! Puis… A l’entrée, deux molosses ont eut peur quand j’leur ai dit que j’étais une de tes filles, et que tu m’cherchais !
Violent comme mensonge, mais plausible, de toute façon, il lui reste pas longtemps à vivre, ça fait déjà une bonne demie heure qu’il se bat, va falloir que la rousse songe à s’éclipser, et sans qu’on l’empêche de sortir de l’auberge, plus elle restera longtemps, plus ils chercheront à savoir, pourquoi Pierrot répond plus !
Oui… Comme au bon vieux temps ! Tu vas pas recommencer comme la dernière fois hein ?
Il vomit parterre, avant de revenir à caresser son corps, elle ferme un instant les yeux, rêvant qu’il sera bientôt mort et qu’il ne la touchera plus jamais, mais, c’est pas encore ça, même si le verre est but d’une traite et qu’elle lui en reverse encore un autre, en trempant l’autre côté de la jarretière, il faut qu’il meure, c’est le moment, elle ne peut plus attendre, elle a besoin de le savoir mort pour partir !
La louve gémit, se cambre sous ses étreintes, feignant être sous le charme et l’emprise de son bourreau, puis se met dessus, se penchant vers son oreille et lui disant :
Tu veux qu’elle position ? Choisis, je ferais tout ce que tu veux !
Et alors qu’il se redresse un peu, l’air nauséeux, Lou prend le verre lui étant destiné, et fait mine de le porter à ses lèvres, sachant que ce geste est formellement interdit, il le lui prend et boit son contenu, en la regardant froidement ! Elle comprend et savait avant qu’il ne se rebiffe, que cela se passerait ainsi, mais il fallait qu’il boive ce dernier verre, afin qu’elle en finisse plus vite !
Non je crois pas l’avoir vu, ou plutôt, si peut être, mais j’en suis pas sûre… Il est pas sur des affiches ?
Il vaut mieux prévenir que guérir, et les affiches étaient bien trop évidentes, pour dire qu’elle les avaient zappées, cependant, à défaut de dire ce qu’elles contenaient, elle pouvait juste signaler qu’elle avait reconnu vaguement son visage qui avait été étalé sur les murs de la ville.
L’héritage du défunt fiancé, intéressaient le Ruffian, à ce stade, elle pouvait tout lui accorder, même la fortune du roi, les cuisses d’Elise, et les biens de la vieille, de toute manière, il allait s’endormir sans plus jamais se réveiller, par contre, pas la peine de lui dire qu’il allait crever, il serait capable de crier… Du moins, pas tout de suite, il vallait mieux attendre qu’il soit incapable de parler !
Il me reste pas grand-chose, à part quelques bijoux, deux à tout casser, un collier et des boucles en saphir ! Si tu les veux je te les donne, on ira les chercher demain, je les ai planqué sous une pierre dans la rue, près de chez le doc !
Les questions fusent, et moi je continue de répondre comme une fifille bien éduquée, ça va pas aller bien loin, on va rester sage j’ai l’impression ! Je le vois prendre un teint bien pâle, livide même, et d’avoir vidé son verre de vin, avec la jarretière trempant dedans, ça va pas l’arranger, vu qu’en la mélangeant avec du liquide, le poison se diffuse mieux ! Je crierais bien ma joie, mais je préfère attendre qu’il soit mort ou presque pour me savoir vraiment libérée de lui.
Je savais même pas qu’Elise était dans le coin ! Quant à ceux qui m’ont rancardé, pas la peine d’aller bien loin… J’ai trainé dans le coin où tu m’a agressée, j’ai causé avec des pauvres bougres à qui j’ai filé un peu de blé, et ils m’ont dit d’passer par ici ! Puis… A l’entrée, deux molosses ont eut peur quand j’leur ai dit que j’étais une de tes filles, et que tu m’cherchais !
Violent comme mensonge, mais plausible, de toute façon, il lui reste pas longtemps à vivre, ça fait déjà une bonne demie heure qu’il se bat, va falloir que la rousse songe à s’éclipser, et sans qu’on l’empêche de sortir de l’auberge, plus elle restera longtemps, plus ils chercheront à savoir, pourquoi Pierrot répond plus !
Oui… Comme au bon vieux temps ! Tu vas pas recommencer comme la dernière fois hein ?
Il vomit parterre, avant de revenir à caresser son corps, elle ferme un instant les yeux, rêvant qu’il sera bientôt mort et qu’il ne la touchera plus jamais, mais, c’est pas encore ça, même si le verre est but d’une traite et qu’elle lui en reverse encore un autre, en trempant l’autre côté de la jarretière, il faut qu’il meure, c’est le moment, elle ne peut plus attendre, elle a besoin de le savoir mort pour partir !
La louve gémit, se cambre sous ses étreintes, feignant être sous le charme et l’emprise de son bourreau, puis se met dessus, se penchant vers son oreille et lui disant :
Tu veux qu’elle position ? Choisis, je ferais tout ce que tu veux !
Et alors qu’il se redresse un peu, l’air nauséeux, Lou prend le verre lui étant destiné, et fait mine de le porter à ses lèvres, sachant que ce geste est formellement interdit, il le lui prend et boit son contenu, en la regardant froidement ! Elle comprend et savait avant qu’il ne se rebiffe, que cela se passerait ainsi, mais il fallait qu’il boive ce dernier verre, afin qu’elle en finisse plus vite !
Re: [RP] La Cour des Miracles
Elle parle, elle parle, j’entends plus vraiment c’qu’elle dit ! J’suis dans un état second ! P’tain, y avait quoi dans son vin en bas ? J’me suis jamais senti comme ça, sauf quand j’ai trop bu sans avoir bouffé, mais… non, j’crois qu’j’ai pas mangé ce soir non plus ! C’est d’moins en moins bon tout ça, et j’ai l’impression d’un truc bizarre, j’ai l’estomac à l’envers, avec ce goût amère qui m’quitte pas, c’est l’enfer !
Les affiches ? Ah ouais, c’est vrai…sûr que si elle en avait pas causé, j’aurais pas cru son histoire à dormir debout, mais j’m’en fiche là, j’entends qu’la moitié d’ses sornettes ! Mon ventre me fait mal, j’arrive même plus à m’occuper d’elle, et pis, j’ai plus envie… J’sens que j’vais dégobiller encore, et c’est pas pour du faux !
Lou cause encore, c’est vrai qu’elle répond à mes questions, mais là, franch’ment, j’écoute plus, j’entends l’nom d’Elise, mais rien d’autre, au pire on r’parl’ra quand que j’me sentirais mieux, j’ai pas trop la tête à ça, vu qu’ça gargouille grave dans mes boyaux, et pour le nom de tord boyaux, j’comprends mieux d’où qu’y z’ont été chercher le mot.
Elle a l’air de s’inquiéter plus à savoir si j’vais l’achever, ou la tabasser, mais j’réponds même pas, j’attends juste de pouvoir mieux respirer, l’air me manque, j’me retourne, elle se fout sur moi, et prend mon verre pour le boire, j’ai pas encore la tête à l’envers, personne boit mon vin, c’est le mien, et j’lui prend même avec mon ventre contrarié, et j’le vide, j’sens même plus le goût, tell’ment ma bouche a un goût de bren !
La rousse me rend fou, mais pas assez dans l’état où j’suis, faudra qu’elle attende demain matin, on va pioncer un peu, et r’prendre les activités dès que j’irais mieux, et c’est pas parc’qu’elle me d’mande la position que j’veux, que j’vais changer d’idée !
Reste tranquille et dors, on f’ra ça demain, là j’ai pas trop la pêche ! Tu bouges pas, où j’t’achève, t’es à moi et à personne d’autre !
J’me mets su’l’côté, j’la serre contre moi, espérant que ça ira mieux, mais quand j’m’endors, j’sens un truc bizarre, et j’ai du mal à respirer, j’râle sans pouvoir plus parler, et c’est en manquant d’air que j’l’entends dire « Tu vas crever ! » !! La salope, elle m’a eut, j’peux plus bouger, et là j’repense à la jarretière au goût amère qu’elle m’a laissé ! Trop tard, vu que déjà, j’suis condamné, et c’est pas au paradis que Pascal va m’attendre !
Les affiches ? Ah ouais, c’est vrai…sûr que si elle en avait pas causé, j’aurais pas cru son histoire à dormir debout, mais j’m’en fiche là, j’entends qu’la moitié d’ses sornettes ! Mon ventre me fait mal, j’arrive même plus à m’occuper d’elle, et pis, j’ai plus envie… J’sens que j’vais dégobiller encore, et c’est pas pour du faux !
Lou cause encore, c’est vrai qu’elle répond à mes questions, mais là, franch’ment, j’écoute plus, j’entends l’nom d’Elise, mais rien d’autre, au pire on r’parl’ra quand que j’me sentirais mieux, j’ai pas trop la tête à ça, vu qu’ça gargouille grave dans mes boyaux, et pour le nom de tord boyaux, j’comprends mieux d’où qu’y z’ont été chercher le mot.
Elle a l’air de s’inquiéter plus à savoir si j’vais l’achever, ou la tabasser, mais j’réponds même pas, j’attends juste de pouvoir mieux respirer, l’air me manque, j’me retourne, elle se fout sur moi, et prend mon verre pour le boire, j’ai pas encore la tête à l’envers, personne boit mon vin, c’est le mien, et j’lui prend même avec mon ventre contrarié, et j’le vide, j’sens même plus le goût, tell’ment ma bouche a un goût de bren !
La rousse me rend fou, mais pas assez dans l’état où j’suis, faudra qu’elle attende demain matin, on va pioncer un peu, et r’prendre les activités dès que j’irais mieux, et c’est pas parc’qu’elle me d’mande la position que j’veux, que j’vais changer d’idée !
Reste tranquille et dors, on f’ra ça demain, là j’ai pas trop la pêche ! Tu bouges pas, où j’t’achève, t’es à moi et à personne d’autre !
J’me mets su’l’côté, j’la serre contre moi, espérant que ça ira mieux, mais quand j’m’endors, j’sens un truc bizarre, et j’ai du mal à respirer, j’râle sans pouvoir plus parler, et c’est en manquant d’air que j’l’entends dire « Tu vas crever ! » !! La salope, elle m’a eut, j’peux plus bouger, et là j’repense à la jarretière au goût amère qu’elle m’a laissé ! Trop tard, vu que déjà, j’suis condamné, et c’est pas au paradis que Pascal va m’attendre !
Pierrot le Ruffian- Messages : 21
Date d'inscription : 07/07/2014
Re: [RP] La Cour des Miracles
Tu feras ce que je veux ? Ça j'en doute pas, t'es pas la première à me le dire, mais vu ta tronche c'est étonnant que t'arrives à croire de façon si certaine que tu arriverais à me plaire. Non mais il faut vraiment en avoir envie pour se la taper la vioque et pour ma part, j'ai bien mieux chez moi. Je l'aurais bien laissée à Lambert mais elle n'a pas l'air de l'intéresser, elle aurait pourtant été parfaite pour lui ! Bon d'un sens, c'est pas plus mal, j'ai eu la confirmation qu'elle connait mon nom et il vaut mieux la faire taire...
Je regarde partout autour de moi après être sorti de l'auberge alors qu'elle me parle sans que je ne fasse attention à ce qu'elle dit. Mariana et François sont partis depuis quelques minutes déjà et je ne sais pas dans quelle direction. Tant pis, je me débarrasse de mon colis encombrant et j'irais les rejoindre ensuite. Je n'aime pas savoir que Mariana est ici, en plus de savoir qu'il y a le gamin qui traîne dans le coin, allez savoir ce qui a pu lui arriver.
Je regarde la vieille accrochée à moi et me mets à réfléchir, après tout la Cour des Miracles n'est pas si loin de chez Elise et la boutique de la lingère n'était qu'à quelques mètres de là, je pourrais m'occuper d'elle là-bas. Bien sûr, ce ne serait pas comme elle l'espère loin de là, j'en suis encore à me demander ce que je vais en faire. La tuer ? Peut-être trop radical...Mais si efficace pour se débarrasser d'une emmerdeuse ! Enfin, s'il fallait tuer toutes les bonnes femmes qui emmerdent le monde il n'en resterait plus beaucoup !
On va chez toi ? On sera mieux je pense ?
Je me fiche bien de la réponse, je pars déjà en direction de sa maison tout en cogitant à ce que je vais faire d'elle quand soudain, une idée me vient et me fait sourire. Après tout, pourquoi pas, ça pourrait être drôle et je serais tranquille le temps de finir ma mission qui doit voir sa fin dès demain soir !
Je regarde partout autour de moi après être sorti de l'auberge alors qu'elle me parle sans que je ne fasse attention à ce qu'elle dit. Mariana et François sont partis depuis quelques minutes déjà et je ne sais pas dans quelle direction. Tant pis, je me débarrasse de mon colis encombrant et j'irais les rejoindre ensuite. Je n'aime pas savoir que Mariana est ici, en plus de savoir qu'il y a le gamin qui traîne dans le coin, allez savoir ce qui a pu lui arriver.
Je regarde la vieille accrochée à moi et me mets à réfléchir, après tout la Cour des Miracles n'est pas si loin de chez Elise et la boutique de la lingère n'était qu'à quelques mètres de là, je pourrais m'occuper d'elle là-bas. Bien sûr, ce ne serait pas comme elle l'espère loin de là, j'en suis encore à me demander ce que je vais en faire. La tuer ? Peut-être trop radical...Mais si efficace pour se débarrasser d'une emmerdeuse ! Enfin, s'il fallait tuer toutes les bonnes femmes qui emmerdent le monde il n'en resterait plus beaucoup !
On va chez toi ? On sera mieux je pense ?
Je me fiche bien de la réponse, je pars déjà en direction de sa maison tout en cogitant à ce que je vais faire d'elle quand soudain, une idée me vient et me fait sourire. Après tout, pourquoi pas, ça pourrait être drôle et je serais tranquille le temps de finir ma mission qui doit voir sa fin dès demain soir !
Gregory Sandre- Messages : 169
Date d'inscription : 05/10/2013
Re: [RP] La Cour des Miracles
Ca y est, on sort, je m’accroche à lui, comme une jeune mariée à son époux. La nuit a vite fait de tomber, ou presque, et pendant qu’on avance, j’ai comme l’impression qu’il cherche quelque chose dans la rue, comme s’il avait l’esprit préoccupé par autre chose. Le bellâtre a vraiment besoin de vacances et de câlins, je le sens bien ça, c’est tout à fait moi de ressentir le manque d’affection chez les gens, mais lui au moins, je serais la personne idéale pour lui en offrir !
Je me serre un peu plus contre lui, lui donnant en cadeau mon plus beau sourir, toutes mes dents étalées avec une candeur infernale ! Raaaaaaaaaaa que je me sens belle !!! Et oh combien il me le rend bien, puisqu’il m’emmène dans son paradis. Nous avons tous deux le diable au corps, et je vais mettre le feu à son lit, dès qu’il m’y aura conduite.
Chez moi ? Oui mais cette fois, je ferme la porte à clefs, j’interdit les filles de s’approcher de ma chambre, et lui, je lui donne à boire, un alcool de ma composition, avec deux gouttes de sommeil dedans ! hummmmm là au moins je suis certaine qu’il va rester dans mes bras jusqu’à demain. Non ? Gniark gniark je suis diabolique !!!
Oui… on ne sera pas dérangés, au moins on sera tranquille, j’ai un bon alcool fort de ma réserve personnelle !
C’est parfait du coup ! Je suis prête à affronter une nuit de folies, et un réveil avec petit déjeuner hors normes ! Raaaaaaaaaaaaa Pascal me gâte, je suis la femme la plus heureuse du monde !!!
Je me serre un peu plus contre lui, lui donnant en cadeau mon plus beau sourir, toutes mes dents étalées avec une candeur infernale ! Raaaaaaaaaaa que je me sens belle !!! Et oh combien il me le rend bien, puisqu’il m’emmène dans son paradis. Nous avons tous deux le diable au corps, et je vais mettre le feu à son lit, dès qu’il m’y aura conduite.
Chez moi ? Oui mais cette fois, je ferme la porte à clefs, j’interdit les filles de s’approcher de ma chambre, et lui, je lui donne à boire, un alcool de ma composition, avec deux gouttes de sommeil dedans ! hummmmm là au moins je suis certaine qu’il va rester dans mes bras jusqu’à demain. Non ? Gniark gniark je suis diabolique !!!
Oui… on ne sera pas dérangés, au moins on sera tranquille, j’ai un bon alcool fort de ma réserve personnelle !
C’est parfait du coup ! Je suis prête à affronter une nuit de folies, et un réveil avec petit déjeuner hors normes ! Raaaaaaaaaaaaa Pascal me gâte, je suis la femme la plus heureuse du monde !!!
Dona Selena Gamberotti- Messages : 20
Points : 20
Date d'inscription : 07/07/2014
Re: [RP] La Cour des Miracles
La petite brunette se rebiffe, voilà autre chose. Depuis quand une catin décide qui quoi et quand ? Elle n'a d'autre choix que d'obéir et François ne comptait pas s'arrêter là. Il alla enfouir son visage dans le coup de la belle et lui murmura :
Je ne sais pas si Killian aime qu'on le soumette et obéit à tes ordres, mais avec moi ça ne se passe pas comme ça.
Ça faisait un petit moment qu'il ne s'était pas amusé avec une femme, sans doute était-ce son petit côté "étrangère" qui l'avait attiré. Dans tous les cas, il n'avait certainement pas l'intention d'obéir à une catin et de la laisser le commander. Il avait décidé qu'il la culbuterait contre ce mur et il comptait bien aller jusqu'au bout même si la donzelle ne semblait pas du même avis. C'est qu'elle se la jouait farouche ! Qu'importe, cela ne le dérangeait absolument pas, en réalité, c'était tout le contraire, il ne jouait que rarement avec les catins car trop dociles, ce n'était pas amusant...Sauf cette fois.
Il se moquait bien de savoir que cela lui plaise ou non, lui, il était certain que ça l'amuserait. Il n'y avait pas à le prier pour qu'il laisse ses mains se balader sur le corps de la donzelle qui semblait réfractaire à ses "caresses" qui tentaient plus de la défaire du peu de vêtements qu'elle portait qu'autre chose. Il n'était pas aisé de la maintenir contre ce mur humide et froid vu comment elle se débattait. Il finit par lui faire faire un demi-tour sur elle même afin de se trouver derrière elle, ainsi, ce serait plus facile...
Robert Starque- Marquis de Genlis
- Messages : 138
Points : 164
Date d'inscription : 10/10/2013
Re: [RP] La Cour des Miracles
Mariana l'avait repoussé et pensait réellement que cela suffirait. Greg lui avait donné une mission qu'il devait mener, une double mission si l'on considère qu'il devait veiller sur "Nina", il allait donc se raviser et se remettre en chemin.
Sauf qu'il ne semblait pas avoir compris et plongeait ses lèvres dans son cou pour lui murmurer qu'il n'en resterait pas là. L'inquiétude de Mariana grandissait à mesure que les mains de l'homme la parcouraient et elle le repoussa une fois encore pour s'enfuir. Elle se débattait de toutes ses forces avec les poings et les jambes avant de se retrouver violemment projetée contre le mur, dos à l'homme.
L'inquiétude avait alors laissé place à la peur et à l'angoisse quand le peu de vêtements qui avaient pu résister à l'assaut de ses mains étaient sur le point de céder. Elle pouvait d'ores et déjà sentir contre sa peau l'intimité excitée de l'homme qui ne tarderait pas à la découvrir sans autorisation.
Elle se mit à hurler avant de tenter de recouvrer un semblant de calme pour réfléchir rapidement.
Il n'y avait plus qu'une solution malgré les risques encourus, c'était de lui dévoiler sa véritable identité sans tarder.
Je ne suis pas une...lâchez-moi je vous en prie...Je m'appelle Mariana, je suis Dame de Compagnie de la Reine, je suis venue ici pour retrouver mon neveu, pitié ne faîtes pas cela.
Des larmes perlaient dans les yeux de la jolie brune, appelant une aide qui ne venait pas.
Sauf qu'il ne semblait pas avoir compris et plongeait ses lèvres dans son cou pour lui murmurer qu'il n'en resterait pas là. L'inquiétude de Mariana grandissait à mesure que les mains de l'homme la parcouraient et elle le repoussa une fois encore pour s'enfuir. Elle se débattait de toutes ses forces avec les poings et les jambes avant de se retrouver violemment projetée contre le mur, dos à l'homme.
L'inquiétude avait alors laissé place à la peur et à l'angoisse quand le peu de vêtements qui avaient pu résister à l'assaut de ses mains étaient sur le point de céder. Elle pouvait d'ores et déjà sentir contre sa peau l'intimité excitée de l'homme qui ne tarderait pas à la découvrir sans autorisation.
Elle se mit à hurler avant de tenter de recouvrer un semblant de calme pour réfléchir rapidement.
Il n'y avait plus qu'une solution malgré les risques encourus, c'était de lui dévoiler sa véritable identité sans tarder.
Je ne suis pas une...lâchez-moi je vous en prie...Je m'appelle Mariana, je suis Dame de Compagnie de la Reine, je suis venue ici pour retrouver mon neveu, pitié ne faîtes pas cela.
Des larmes perlaient dans les yeux de la jolie brune, appelant une aide qui ne venait pas.
Mariana.- Messages : 110
Points : 125
Date d'inscription : 06/10/2013
Re: [RP] La Cour des Miracles
Mais où il est ? Je suis allé voir à la taverne et on m'a dit qu'il était sorti avec une vieille chouette habillée comme une traînée. Il fait quoi avec la vieille ? C'est sa mère ? Oh chouette, j'ai retrouvé mon père et je vais connaitre ma mamie !! Me voilà à courir dans les rues crasseuses de la Cour des Miracles à leur recherche tout en l'appelant "Killian", je sais bien que c'est pas son vrai nom mais ici tout le monde l'appelle comme ça, par contre, mamie je sais pas comment elle s'appelle et si je crie "Mamie" ils vont se poser des questions !
J'entends des cris un peu partout, bon sang ce qu'ils sont bruyants les gens ici ! Je tourne dans quelques ruelles et demande aux gens que je croise s'ils ont vu Killian, il commence à être connu ici, on dit que c'est le nouveau chouchou du roi ! Je me dépêche et traverse les rues en vitesse, il vaut mieux ne pas trop traîner au même endroit ici surtout la nuit. J'allais prendre un petit chemin quand j'ai entendu des cris et aperçu des silhouettes un peu plus loin. Encore un couple en train de faire des cochonneries ! Pfff...Bon demi-tour, je vais pas aller par là.
Je fais pour repartir quand j'entends "Mariana" dans un accent qui m'est familier. Je me retourne et m'approche quand même....Nan ! C'est pas possible ?! Tata ??? L'homme, je le reconnais, c'est celui qui traîne avec mon père, qu'est ce qu'il fait là ? Et elle ?? Je rêve ou il l'agresse ? Ah nan, ça se passera pas comme ça !! Je m'élance et lui saute dessus pour le frapper, je lui donne des coups de pieds et de poings dans l'espoir qu'il la lâche.
Touches pas à ma tataaaa !!!
Il finit par s'éloigner un peu d'elle à force de recevoir des coups. Je me dépêche de réagir avant que lui ne le fasse et ne me colle la raclée de ma vie. J'attrape le poignet de Mariana et l’entraîne avec moi.
Dépêches toi !! Cours !!
Nous voilà partis dans une course poursuite dans la Cour des Miracles alors que je cherche un endroit où nous cacher pour éviter qu'on finisse mal.
J'entends des cris un peu partout, bon sang ce qu'ils sont bruyants les gens ici ! Je tourne dans quelques ruelles et demande aux gens que je croise s'ils ont vu Killian, il commence à être connu ici, on dit que c'est le nouveau chouchou du roi ! Je me dépêche et traverse les rues en vitesse, il vaut mieux ne pas trop traîner au même endroit ici surtout la nuit. J'allais prendre un petit chemin quand j'ai entendu des cris et aperçu des silhouettes un peu plus loin. Encore un couple en train de faire des cochonneries ! Pfff...Bon demi-tour, je vais pas aller par là.
Je fais pour repartir quand j'entends "Mariana" dans un accent qui m'est familier. Je me retourne et m'approche quand même....Nan ! C'est pas possible ?! Tata ??? L'homme, je le reconnais, c'est celui qui traîne avec mon père, qu'est ce qu'il fait là ? Et elle ?? Je rêve ou il l'agresse ? Ah nan, ça se passera pas comme ça !! Je m'élance et lui saute dessus pour le frapper, je lui donne des coups de pieds et de poings dans l'espoir qu'il la lâche.
Touches pas à ma tataaaa !!!
Il finit par s'éloigner un peu d'elle à force de recevoir des coups. Je me dépêche de réagir avant que lui ne le fasse et ne me colle la raclée de ma vie. J'attrape le poignet de Mariana et l’entraîne avec moi.
Dépêches toi !! Cours !!
Nous voilà partis dans une course poursuite dans la Cour des Miracles alors que je cherche un endroit où nous cacher pour éviter qu'on finisse mal.
Christian- Messages : 24
Points : 28
Date d'inscription : 17/11/2013
Localisation : Avec Romane et Edouard
Re: [RP] La Cour des Miracles
Ils ne sont pas là et j'ai la vieille qui me colle encore une fois. Tu parles d'une vie, je pourrais être pénard chez Elise à boire un verre tout en m'occupant des filles et je suis là, à risquer ma peau pour une vengeance et à me retrouver, non seulement dans la merde avec une catin qui fait n'importe quoi, une vieille chouette qui me suit partout et par dessus tout Mariana qui vient ici comme elle irait au marché pour chercher son neveu qui est aussi mon fils...Que je ne saurais même pas reconnaitre si je le croisais !
De l'alcool ? Aurait-elle compris qu'il faudrait que je sois dans un coma éthylique pour que j'accepte de coucher avec ? Sans doute pas ! Je l'entraine à l'extérieur de la Cour des Miracles en scrutant autour de moi si je ne vois pas Mariana et François mais rien. Je prends la direction de la Lanterne Rouge, sa maison n'est pas loin et quand on arrive enfin, je n'ai qu'une idée en tête : m'en débarrasser. J'attends qu'elle ouvre la porte pour nous faire entrer et pénètre...Dans la boutique qu'il faut traverser pour arriver chez elle.
Je la regarde, elle me fait toutes sortes d'effets mais sans doute pas celui espéré même si je continue de jouer le jeu, j'ai une petite idée pour être tranquille suffisamment longtemps pour m'occuper de ma mission.
J'ai envie de jouer un peu...Tu aurais de quoi faire des liens ?
Une fois que je l'aurais attachée au lit, je la laisserais là en mettant un mot sur le comptoir de la boutique pour que ses employées la libèrent quand elles viendront travailler, pendant ce temps là, j'aurais la paix !
De l'alcool ? Aurait-elle compris qu'il faudrait que je sois dans un coma éthylique pour que j'accepte de coucher avec ? Sans doute pas ! Je l'entraine à l'extérieur de la Cour des Miracles en scrutant autour de moi si je ne vois pas Mariana et François mais rien. Je prends la direction de la Lanterne Rouge, sa maison n'est pas loin et quand on arrive enfin, je n'ai qu'une idée en tête : m'en débarrasser. J'attends qu'elle ouvre la porte pour nous faire entrer et pénètre...Dans la boutique qu'il faut traverser pour arriver chez elle.
Je la regarde, elle me fait toutes sortes d'effets mais sans doute pas celui espéré même si je continue de jouer le jeu, j'ai une petite idée pour être tranquille suffisamment longtemps pour m'occuper de ma mission.
J'ai envie de jouer un peu...Tu aurais de quoi faire des liens ?
Une fois que je l'aurais attachée au lit, je la laisserais là en mettant un mot sur le comptoir de la boutique pour que ses employées la libèrent quand elles viendront travailler, pendant ce temps là, j'aurais la paix !
Gregory Sandre- Messages : 169
Points : 183
Date d'inscription : 05/10/2013
Re: [RP] La Cour des Miracles
Il commençait à la défaire de ses vêtements, sentant l'envie de la prendre se faire plus pressante lorsqu'elle commença à raconter une petite histoire à dormir debout. Il se mit à rire doucement en entendant ses supplications, comme s'il allait croire à de tes idioties.
La dame de compagnie de la reine, rien que ça ? Tu me la présenteras alors, ce sera la prochaine.
Il glissait une de ses mains sur sa cuisse, remontant vers son intimité lorsqu'il entendit un cri derrière lui avant qu'une myriade de coups de pieds et de poings ne viennent l'assaillir. Bien que les coups furent peu puissants, ils le déstabilisèrent suffisamment pour qu'il relâche sa proie. Il mit quelques instants avant de réaliser ce qu'il se passait et de se mettre en chasse. Saleté de gamin ! Pensa t-il tout en les suivant, il n'était pas dit que ce sale morveux allait réduire à néant ses projets, il la voulait, il l'aurait.
Robert Starque- Marquis de Genlis
- Messages : 138
Points : 164
Date d'inscription : 10/10/2013
Re: [RP] La Cour des Miracles
Me v’là aux anges, et c’est peu d’le dire, le bellâtre accepte mes conditions, et sa voix me plonge dans un bonheur quasi-total ! Je m’offrirais presque sans conditions, si je n’avais quelques doutes sur mes employées, alors je préfère prévenir que guérir, et le dévêtir pour mieux en profiter ! Ben quoi ? J’ai l’droit d’être méfiante avec c’qui m’est arrivé la dernière fois ! Faudrait s’assurer de pas m’faire de bosses, ni même de me réveiller toute seule dans mon lit ! Nanéo !!!
Je glisse ma lourde clef dans la serrure, il connait le chemin et m’entraine dans la chambre, je suis au paradis ! Nous voilà devant ce même lit qui fut le nôtre, alors que je n’ai aucun souvenir de ce qui entre nous, lors de la première fois, ce fut déjà passé, pour peu que cela soit ! Et je m’assurais cette fois nouvelle, de refermer derrière moi, à clef, la porte qui me sépare de mes lingères, afin que de personne, nous puissions être dérangés ! Z’avez vu comme je cause bien ? héhé je me méfie un chouia maint’nant !
Mon cœur semble vouloir éclater, ma poitrine déborde généreusement de mon corset, je sens battre ce palpitant comme si à l’intérieur de moi, il manquait de place à le faire, j’aurais tremblé si je ne bavais pas déjà devant ma proie, et mes mains avides cachent entre mes seins volumineux, la clef glacée de la porte que je viens de fermer… Mon sourire étalé est carnassier, et déjà mes mains le palpent en dessinant fermement ses muscles sous sa chemise.. HHumpffff que c’est beau toussa !!! Raaaaaaaaaaaaaa Je veux le manger !!!
Des liens ? Tu veux jouer ? Roooo ma canaille ! Allonge toi, je reviens tout de suite…
Je sers deux verres de vin de qualité, et je verse dans le sien quelques gouttes de la fiole que le doc m’a donné pour dormir, incolore, inodore, et aucun goût dérangeant ! Je cherche des rubans à cheveux en satin, ils seront parfaits pour l’attacher lui au lit ! Je sens qu’on va bien s’amuser, je l’imagine déjà, nu comme un ver, allongé sur ma couche et moi à tout manger de lui, en commençant par son cou ! Miammm
Je reviens, quatre liens assez longs et des règles de mon cru pour jouer à ce petit jeu ! Les rubans sont en sécurité dans mon corsage, et je tends les deux verres à mon « précieux » hummm !
Trinquons à cette soirée, et nous pourrons jouer ensuite, tu me raconteras laquelle des filles t’a obligé à partir la dernière fois, et je saurais laquelle d’entre elles m’aura volé ce jour là !
Je lui ferais croire que ce qu’il boit est un philtre d’amour, dès qu’il sentira sa tête tourner ! héhé
Heureusement, elles n’ont volé que les affaires d’une autre fille qui voulait venir travailler ici, elles n’ont pas prit mes bijoux à moi, ni mon argent ! Je ne suis pas bête, personne ne sait où est mon coffre ! hihi
Et tout en papotant avec mon bel amour, je commence à tirer sur les laçages de mes jupons dévoilant ansi ma beauté, pas de panty (culotte longue en coton, bordée de dentelles, car à cette époque il n’y avait pas encore de culottes, slips ou autre choses du genre ! En général les femmes étaient soit nues sous leurs vêtements, soit avec cet accessoire pour avoir moins froid ! Et les hommes eux, ne portaient que des pantalons que l’on nommait des culottes) rien donc pour cacher mon intime nature que je lui offrait déjà à sa vue amoureusement conquit par ma personne ! Rooooo qu’il est bon de se savoir aimée !! Et là, après quelques danses trémoussantes d’un postérieur que j’offrais à son regard émerveillé, je me retournais pour prendre à mon tour mon verre et le boire en trinquant en sa compagnie !
A nous, et à notre folle nuit d’amour chéri chéri !
Je glisse ma lourde clef dans la serrure, il connait le chemin et m’entraine dans la chambre, je suis au paradis ! Nous voilà devant ce même lit qui fut le nôtre, alors que je n’ai aucun souvenir de ce qui entre nous, lors de la première fois, ce fut déjà passé, pour peu que cela soit ! Et je m’assurais cette fois nouvelle, de refermer derrière moi, à clef, la porte qui me sépare de mes lingères, afin que de personne, nous puissions être dérangés ! Z’avez vu comme je cause bien ? héhé je me méfie un chouia maint’nant !
Mon cœur semble vouloir éclater, ma poitrine déborde généreusement de mon corset, je sens battre ce palpitant comme si à l’intérieur de moi, il manquait de place à le faire, j’aurais tremblé si je ne bavais pas déjà devant ma proie, et mes mains avides cachent entre mes seins volumineux, la clef glacée de la porte que je viens de fermer… Mon sourire étalé est carnassier, et déjà mes mains le palpent en dessinant fermement ses muscles sous sa chemise.. HHumpffff que c’est beau toussa !!! Raaaaaaaaaaaaaa Je veux le manger !!!
Des liens ? Tu veux jouer ? Roooo ma canaille ! Allonge toi, je reviens tout de suite…
Je sers deux verres de vin de qualité, et je verse dans le sien quelques gouttes de la fiole que le doc m’a donné pour dormir, incolore, inodore, et aucun goût dérangeant ! Je cherche des rubans à cheveux en satin, ils seront parfaits pour l’attacher lui au lit ! Je sens qu’on va bien s’amuser, je l’imagine déjà, nu comme un ver, allongé sur ma couche et moi à tout manger de lui, en commençant par son cou ! Miammm
Je reviens, quatre liens assez longs et des règles de mon cru pour jouer à ce petit jeu ! Les rubans sont en sécurité dans mon corsage, et je tends les deux verres à mon « précieux » hummm !
Trinquons à cette soirée, et nous pourrons jouer ensuite, tu me raconteras laquelle des filles t’a obligé à partir la dernière fois, et je saurais laquelle d’entre elles m’aura volé ce jour là !
Je lui ferais croire que ce qu’il boit est un philtre d’amour, dès qu’il sentira sa tête tourner ! héhé
Heureusement, elles n’ont volé que les affaires d’une autre fille qui voulait venir travailler ici, elles n’ont pas prit mes bijoux à moi, ni mon argent ! Je ne suis pas bête, personne ne sait où est mon coffre ! hihi
Et tout en papotant avec mon bel amour, je commence à tirer sur les laçages de mes jupons dévoilant ansi ma beauté, pas de panty (culotte longue en coton, bordée de dentelles, car à cette époque il n’y avait pas encore de culottes, slips ou autre choses du genre ! En général les femmes étaient soit nues sous leurs vêtements, soit avec cet accessoire pour avoir moins froid ! Et les hommes eux, ne portaient que des pantalons que l’on nommait des culottes) rien donc pour cacher mon intime nature que je lui offrait déjà à sa vue amoureusement conquit par ma personne ! Rooooo qu’il est bon de se savoir aimée !! Et là, après quelques danses trémoussantes d’un postérieur que j’offrais à son regard émerveillé, je me retournais pour prendre à mon tour mon verre et le boire en trinquant en sa compagnie !
A nous, et à notre folle nuit d’amour chéri chéri !
Dona Selena Gamberotti- Messages : 20
Points : 20
Date d'inscription : 07/07/2014
Re: [RP] La Cour des Miracles
Collé à lui, il perd de ses forces, mais la serre en l’obligeant à ne pas le quitter, elle obéit, mais seulement à cet instant, car elle sait…
Oui… Rien qu’à toi…
Ses yeux se ferment et s’ouvrent doucement, coincé dans les limbes d’une nuit opressante, où la lumière aveugle et le jour devient sombre, c’est à cet instant qu’elle lui murmure…
Tu vas crever !
Le jeu en vallait vraiment la chandelle, il refuse de lui faire sa fête ce soir, elle évidemment, comment aurait elle put ne pas en être satisfaite, elle se serait donnée de toute façon si elle en avait été obligée, mais elle avait dû mal doser sur la jarretière, car il vomissait, alors qu’il aurait simplement dû s’endormir ! Sans doute, était ce mieux ainsi, ceux qui le trouveraient jugeraient qu’il avait trop bu, ou mangé un truc pas frais ! C’est donc avec cette idée, qu’elle croque dans une pomme en en gardant les morceaux à peine mâchés pour les lui mettre dans la bouche…
Il ne parlait plus vraiment, ses gestes désignaient la couche, pour qu’elle y reste sans trop bouger, il était livide, mais lorsque vraiment il était presque immobile, elle s’était levée, et avait vidé le verre par la fenêtre, essorant la précieuse jarretière, et la sèchant au maximum pour la remettre à sa cuisse, sur le bas de coton ! Rien n’était laissé au hasard, tout devait désigner le crime parfait !
Dans le verre lavé, elle remet du vin, sauf que cette fois, il n’y a plus de sa potion volée au doc, simplement du vin, le verre était à moitié et elle en boit une gorgée afin que le verre ne soit pas propre. Elle regarde le pauvre Pierrot, son état empire, c’est un réel plaisir pour elle de le voir souffrir, le temps s’écoule doucement, il faut laisser croire qu’ils avaient largement consommé, et quelques gémissement ne seraient pas de trop pour agrémenter la mise en scène.
Cette fois, elle avait même ignoré ce qu’il avait dit un peu plus tôt, car à vrai dire, maintenant qu’il ne pouvait plus bouger, il ne lui restait que quelques minutes à vivre, alors pourquoi se priver de lui révéler le devenir de sa triste existance ? Non, elle voulait qu’il sache, que le mal qu’il lui avait fait, il était déjà entrain de le payer, et que sa souffrance allait le pourir de l’intérieur !
Alors mon chou… Ca fait mal ? Je peux t’en parler de la souffrance, Dieu sait si Pascal m’en est témoin, tu m’en a affligé ! J’peux plus avoir de gosses, mais toi non plus ! Toi c’est mieux, tu peux plus rien ! Je file, j’veux que tu crève tout seul, j’ai adoré te voir souffrir !
Quelques morceaux de pomme mâchées qu’elle lui met en bouche, celle qui fut mordue dans sa main crispée, le tour était joué ! Un ruban de satin en main, le rouge veut dire « Ne pas déranger ! », elle va à la porte, l’accroche à la poignée, le Ruffian ne râle plus, il expie ses derniers péchés, alors qu’elle descend trois quart d’heures après être montée, demandant à l’aubergiste de ne pas le déranger, car il cuvait ses mélanges alcoolisés, et qu’il voulait dormir tranquille jusqu’au soleil levé !
Elle salue les gens présents, pressée de quitter les lieux afin de ne pas se faire prendre et sort de l’auberge en empruntant le chemin au milieu des brigands, afin de ne pas se faire voir de Lambert qui risquerait de la coincer. Là… Une fois dehors, elle marche d’abord doucement, tremblante et heureuse à la fois, même si ses entrailles l’empêchaient de trop se concentrer, pour arriver enfin au coin de la ruelle et se mettre à courir… Elle avait peur que le diable vienne la rattraper !
A force de se battre contre le vent, le souffle coupé et la gorge sèche, elle bouscule bruyamment des poubelles exposées dans l’ombre d’une de ces rues, effrayant quelques chats qui s’étaient aventurés pour se nourrir, et elle-même hurlant à la mort, après s’être fait peur aussi ! Non loin en même temps que le sien, un autre cri s’était fait entendre, et marchant au milieu des détritus qu’elle repoussait en marchant à 4 pattes, elle se cacha derrière le porche d’une maison, afin d’en mieux reconnaitre les voix, où surtout la situation, il ne s’agissait pas qu’après avoir tué le Ruffian, elle se retrouve sous le jouc d’un autre Pierrot ! A cette heure, elle réalisait à peine qu’elle venait de signer pour sa liberté, mais aussi son arrêt de mort, si on venait à l’accuser !
Oui… Rien qu’à toi…
Ses yeux se ferment et s’ouvrent doucement, coincé dans les limbes d’une nuit opressante, où la lumière aveugle et le jour devient sombre, c’est à cet instant qu’elle lui murmure…
Tu vas crever !
Le jeu en vallait vraiment la chandelle, il refuse de lui faire sa fête ce soir, elle évidemment, comment aurait elle put ne pas en être satisfaite, elle se serait donnée de toute façon si elle en avait été obligée, mais elle avait dû mal doser sur la jarretière, car il vomissait, alors qu’il aurait simplement dû s’endormir ! Sans doute, était ce mieux ainsi, ceux qui le trouveraient jugeraient qu’il avait trop bu, ou mangé un truc pas frais ! C’est donc avec cette idée, qu’elle croque dans une pomme en en gardant les morceaux à peine mâchés pour les lui mettre dans la bouche…
Il ne parlait plus vraiment, ses gestes désignaient la couche, pour qu’elle y reste sans trop bouger, il était livide, mais lorsque vraiment il était presque immobile, elle s’était levée, et avait vidé le verre par la fenêtre, essorant la précieuse jarretière, et la sèchant au maximum pour la remettre à sa cuisse, sur le bas de coton ! Rien n’était laissé au hasard, tout devait désigner le crime parfait !
Dans le verre lavé, elle remet du vin, sauf que cette fois, il n’y a plus de sa potion volée au doc, simplement du vin, le verre était à moitié et elle en boit une gorgée afin que le verre ne soit pas propre. Elle regarde le pauvre Pierrot, son état empire, c’est un réel plaisir pour elle de le voir souffrir, le temps s’écoule doucement, il faut laisser croire qu’ils avaient largement consommé, et quelques gémissement ne seraient pas de trop pour agrémenter la mise en scène.
Cette fois, elle avait même ignoré ce qu’il avait dit un peu plus tôt, car à vrai dire, maintenant qu’il ne pouvait plus bouger, il ne lui restait que quelques minutes à vivre, alors pourquoi se priver de lui révéler le devenir de sa triste existance ? Non, elle voulait qu’il sache, que le mal qu’il lui avait fait, il était déjà entrain de le payer, et que sa souffrance allait le pourir de l’intérieur !
Alors mon chou… Ca fait mal ? Je peux t’en parler de la souffrance, Dieu sait si Pascal m’en est témoin, tu m’en a affligé ! J’peux plus avoir de gosses, mais toi non plus ! Toi c’est mieux, tu peux plus rien ! Je file, j’veux que tu crève tout seul, j’ai adoré te voir souffrir !
Quelques morceaux de pomme mâchées qu’elle lui met en bouche, celle qui fut mordue dans sa main crispée, le tour était joué ! Un ruban de satin en main, le rouge veut dire « Ne pas déranger ! », elle va à la porte, l’accroche à la poignée, le Ruffian ne râle plus, il expie ses derniers péchés, alors qu’elle descend trois quart d’heures après être montée, demandant à l’aubergiste de ne pas le déranger, car il cuvait ses mélanges alcoolisés, et qu’il voulait dormir tranquille jusqu’au soleil levé !
Elle salue les gens présents, pressée de quitter les lieux afin de ne pas se faire prendre et sort de l’auberge en empruntant le chemin au milieu des brigands, afin de ne pas se faire voir de Lambert qui risquerait de la coincer. Là… Une fois dehors, elle marche d’abord doucement, tremblante et heureuse à la fois, même si ses entrailles l’empêchaient de trop se concentrer, pour arriver enfin au coin de la ruelle et se mettre à courir… Elle avait peur que le diable vienne la rattraper !
A force de se battre contre le vent, le souffle coupé et la gorge sèche, elle bouscule bruyamment des poubelles exposées dans l’ombre d’une de ces rues, effrayant quelques chats qui s’étaient aventurés pour se nourrir, et elle-même hurlant à la mort, après s’être fait peur aussi ! Non loin en même temps que le sien, un autre cri s’était fait entendre, et marchant au milieu des détritus qu’elle repoussait en marchant à 4 pattes, elle se cacha derrière le porche d’une maison, afin d’en mieux reconnaitre les voix, où surtout la situation, il ne s’agissait pas qu’après avoir tué le Ruffian, elle se retrouve sous le jouc d’un autre Pierrot ! A cette heure, elle réalisait à peine qu’elle venait de signer pour sa liberté, mais aussi son arrêt de mort, si on venait à l’accuser !
Re: [RP] La Cour des Miracles
Les larmes coulaient sur les joues de Mariana, larmes de peur, de dégoût et de haine. Elle avait beau se débattre de toutes ses forces, c'était en vain. L' homme était trop fort et la position qu'il lui avait imposée ne l'aidait vraiment pas à le repousser. Elle se mit à hurler à pleins poumons que l'on vienne à son secours mais les passants semblaient suffisamment apprécier le spectacle pour au mieux ne pas broncher au pire encourager l'homme.
Il ne la crut pas quand elle lui dévoila sa véritable identité et quand le tissu qui cachait si impudemment son intimité finit par céder, la panique s'empara d'elle, la tétanisant sur place. Elle le suppliait de la lâcher mais toutes suppliques restaient sourdes aux assauts excités de François.
Puis, soudain l'étreinte fut relâchée. Elle ne comprit d'abord pas ce qu'il se passait et ne réalisa pas de suite, comme en état de choc, qu'elle pouvait et devait fuir maintenant, avant qu'il ne reprenne le dessus sur elle. Ce n'est qu'en sentant une main se refermer sur la sienne pour l'entraîner loin de ce monstre et l'ordre donné de courir, qu'elle revint à la réalité pour voir Diego.
Pas le temps de fêter les retrouvailles ni de se réjouir de le voir en bonne santé qu'il fallait fuir à toutes jambes et trouver à se cacher de François. Après d'interminables minutes à courir, poursuivis par l'agresseur de la jeune femme, ils purent trouver refuge dans un coin de rue, dissimulés par diverses cagettes et autres détritus forts peu ragoutants mais néanmoins bienvenus.
Quand elle se sentit un temps soit peu à l'abri, elle serra fortement son neveu contre elle, soulagée de le revoir, sa colère ayant totalement disparue...pour le moment.
Oh mon Dieu Diego ! Tu n'as rien ? Tu n'es pas blessé ? Mais que fais-tu ici ? Je me suis fait un sang d'encre tu sais !
Si les larmes cette fois baignaient ses yeux, c'était de joie de le revoir sain et sauf. Il leur faudrait maintenant sortir de ce trou à rats le plus discrètement possible. Elle espérait que Greg les retrouve facilement et les aide à regagner la sortie.
Il ne la crut pas quand elle lui dévoila sa véritable identité et quand le tissu qui cachait si impudemment son intimité finit par céder, la panique s'empara d'elle, la tétanisant sur place. Elle le suppliait de la lâcher mais toutes suppliques restaient sourdes aux assauts excités de François.
Puis, soudain l'étreinte fut relâchée. Elle ne comprit d'abord pas ce qu'il se passait et ne réalisa pas de suite, comme en état de choc, qu'elle pouvait et devait fuir maintenant, avant qu'il ne reprenne le dessus sur elle. Ce n'est qu'en sentant une main se refermer sur la sienne pour l'entraîner loin de ce monstre et l'ordre donné de courir, qu'elle revint à la réalité pour voir Diego.
Pas le temps de fêter les retrouvailles ni de se réjouir de le voir en bonne santé qu'il fallait fuir à toutes jambes et trouver à se cacher de François. Après d'interminables minutes à courir, poursuivis par l'agresseur de la jeune femme, ils purent trouver refuge dans un coin de rue, dissimulés par diverses cagettes et autres détritus forts peu ragoutants mais néanmoins bienvenus.
Quand elle se sentit un temps soit peu à l'abri, elle serra fortement son neveu contre elle, soulagée de le revoir, sa colère ayant totalement disparue...pour le moment.
Oh mon Dieu Diego ! Tu n'as rien ? Tu n'es pas blessé ? Mais que fais-tu ici ? Je me suis fait un sang d'encre tu sais !
Si les larmes cette fois baignaient ses yeux, c'était de joie de le revoir sain et sauf. Il leur faudrait maintenant sortir de ce trou à rats le plus discrètement possible. Elle espérait que Greg les retrouve facilement et les aide à regagner la sortie.
Mariana.- Messages : 110
Points : 125
Date d'inscription : 06/10/2013
Re: [RP] La Cour des Miracles
- Je la suis en imaginant sa tête quand elle va comprendre que je lui ai joué un tour, en d'autres temps, je ne me serais pas embêté comme ça mais à la Cour des Miracles, j'ai tout intérêt à rester dans l'apparence alors j'ai joué le jeu et fait comme si elle avait un tant soit peu d'intérêt pour moi.
La vieille s'est éloignée pour aller chercher ce qui deviendra ses propres liens et revient avec ça...Dans son corsage...Dites-moi que c'est pas vrai, dites-moi que je rêve ! Rien qu'à la regarder j'ai la nausée alors l'idée de la toucher, et encore en plus, de foutre ma main là-dedans pour les récupérer...Quelle horreur ! J'en ai troussé quelques unes dans ma jeunesse, j'ai déjà joué le jeu de la séduction pour parvenir à mes fins pendant une mission, mais j'ai jamais eu à faire avec un engin pareil !
Elle me propose un verre alors qu'elle commence à se dandiner. Elle croit vraiment que j'ai que ça à faire ? Ma femme et mon fils sont à la Cour des Miracles en ce moment même et si c'est mon monde, ce n'est certainement pas le leur. Il y a trop de risques là-bas pour que je traîne avec cette vieille chouette empaillée.
Allez...Prends ton courage à deux mains Greg...N'y pense pas...Imagine que c'est le décolleté de Mariana et ça ira. Je regarde la vioque et me dis que c'est bien dur d'imaginer quand même. Et c'est encore plus difficile quand elle finit à moitié à poils, comment dire ça de façon poétique...J'ai la gerbe. C'est classe oui, autant que son vieux cul fripé qui se balance devant moi.
Je prends une grande inspiration quand elle se tourne vers moi pour trinquer, je pose le verre et plonge ma main dans le corsage, me dépêchant de récupérer les liens et lui dis, alors que j'attrape une de ses mains pour l'attacher :
Je n'ai plus envie d'attendre.
Plus vite fait, plus vite débarrassé et je pourrais retourner aux choses sérieuses. Je vais l'attacher à son lit et demain ses employées la trouveront et la libéreront...Peut-être...Dans tous les cas, elles s'amuseront bien. Je me dépêche, j'ai pas que ça à faire, je dois retourner aux Miracles au plus vite.
Gregory Sandre- Messages : 169
Points : 183
Date d'inscription : 05/10/2013
Re: [RP] La Cour des Miracles
Allez bois… hum ? Tu vas boire ma mixture ? Il faut qu’il boive le verre, juste pour qu’il s’endorme, sinon je sens que ça va pas le faire ! Non que je n’ai pas confiance en lui, mais il faut que je puisse en profiter avant de dormir moi aussi ! Allez bois mon mignon, et mes yeux lui sourient pour qu’il finisse ce foutu verre…
Je savais qu’il aurait envie de toucher, personne ne résiste à ma poitrine généreuse… Je suis officiellement un sex-symbole, si quelques peintres ou sculpteurs me connaissaient, ils auraient vite fait de moi leur effigie, modèle incontesté d’une beauté idyllique… Ahhhh que ne suis-je connue pour être cette représentation de Vénus au cœur d’une époque éternelle !
Le vin ne doit pas vraiment lui plaire, sans doute en ais je trop mit dedans ? Il repose celui-ci en faisant la grimace, un instant j’ai cru que c’était ma robe qui l’ennuyait, la couleur criarde peut être, de ce rouge sous le noir, mais aussitôt il plonge dans mon corsage pour se saisir des liens, et moi (par mégarde), je prends son verre au lieu du mien, le buvant d’un trait pour me donner ce piquant qui éclaire mon regard et cette assurance que je lui veux offrir, toujours dandinant, de dos ou de face, chaires déployées pour attiser son appétit, je prends donc l’autre coupe (qui était la mienne) pour la lui tendre et l’obiger gentiment à m’imiter avant d’aller au lit !
Il a trinqué avec le premier verre, (en a-t-il but une gorgée ? va-t-il ressentir plus tard les effets du somnifère ?) Et je lui tends le second, persuadée qu’il contient le nectar qui va faire de lui mon esclave… Mon regard se fait insistant, mon corps tout entier le supplie, je le veux à moi, je rêve de le dévorer, de… La chaleur m’envahi, je me sens fiévreuse rien qu’à lui appartenir, à moins que le vin ne vienne chauffer mes envies, et me brûler là où je m’y attends le moins… Ma tête ?
Il n’a plus envie d’attendre, mais j’ai envie qu’il boive, moi j’ai tout mon temps, et s’il est pressé… Et bien… Heuuu il se déshabille quand ??? J’impose mon verre, un peu comme une dernière volonté :
Moi non plus mon mignon, mais… Bois avant et je te laisse mener la danse… Je ferais tout ce que tu veux après !
Je lui montre ma bonne volonté, prête à obéir, à me coucher et à être son esclave, pourvu qu’il ingurgite, ce que je crois être la mixture qui lui est destinée, alors que déjà de mon côté, la tête me tourne, sentant les effets de cet alcool (imbibé de potion) qui m’enivre, prête à m’abandonner à lui ! Hooooo Greg… Heuuu Killian ? Au fait, c’est quoi son vrai nom ?
Je savais qu’il aurait envie de toucher, personne ne résiste à ma poitrine généreuse… Je suis officiellement un sex-symbole, si quelques peintres ou sculpteurs me connaissaient, ils auraient vite fait de moi leur effigie, modèle incontesté d’une beauté idyllique… Ahhhh que ne suis-je connue pour être cette représentation de Vénus au cœur d’une époque éternelle !
Le vin ne doit pas vraiment lui plaire, sans doute en ais je trop mit dedans ? Il repose celui-ci en faisant la grimace, un instant j’ai cru que c’était ma robe qui l’ennuyait, la couleur criarde peut être, de ce rouge sous le noir, mais aussitôt il plonge dans mon corsage pour se saisir des liens, et moi (par mégarde), je prends son verre au lieu du mien, le buvant d’un trait pour me donner ce piquant qui éclaire mon regard et cette assurance que je lui veux offrir, toujours dandinant, de dos ou de face, chaires déployées pour attiser son appétit, je prends donc l’autre coupe (qui était la mienne) pour la lui tendre et l’obiger gentiment à m’imiter avant d’aller au lit !
Il a trinqué avec le premier verre, (en a-t-il but une gorgée ? va-t-il ressentir plus tard les effets du somnifère ?) Et je lui tends le second, persuadée qu’il contient le nectar qui va faire de lui mon esclave… Mon regard se fait insistant, mon corps tout entier le supplie, je le veux à moi, je rêve de le dévorer, de… La chaleur m’envahi, je me sens fiévreuse rien qu’à lui appartenir, à moins que le vin ne vienne chauffer mes envies, et me brûler là où je m’y attends le moins… Ma tête ?
Il n’a plus envie d’attendre, mais j’ai envie qu’il boive, moi j’ai tout mon temps, et s’il est pressé… Et bien… Heuuu il se déshabille quand ??? J’impose mon verre, un peu comme une dernière volonté :
Moi non plus mon mignon, mais… Bois avant et je te laisse mener la danse… Je ferais tout ce que tu veux après !
Je lui montre ma bonne volonté, prête à obéir, à me coucher et à être son esclave, pourvu qu’il ingurgite, ce que je crois être la mixture qui lui est destinée, alors que déjà de mon côté, la tête me tourne, sentant les effets de cet alcool (imbibé de potion) qui m’enivre, prête à m’abandonner à lui ! Hooooo Greg… Heuuu Killian ? Au fait, c’est quoi son vrai nom ?
Dernière édition par Dona Selena Gamberotti le Dim 26 Oct - 17:39, édité 1 fois
Dona Selena Gamberotti- Messages : 20
Points : 20
Date d'inscription : 07/07/2014
Re: [RP] La Cour des Miracles
Mariana, c’était elle qui tentait d’échapper aux griffes d’un homme, on dirait même celui qu’elle a accosté à l’auberge, sans doute le François que Greg lui avait désigné, il semble que celui là se mouche pas du coude, il voulait profiter de la demoiselle ? Si Greg le sait, il va passer un sale quart d’heure, et pour le coup la rousse ne sait plus que faire…
Là, ça aurait pas été le moment d’intervenir, une pure folie, mais au moment même où elle voulait le faire, la voilà qui prend la poudre d’escampe et file main dans la main avec un gamin ! Ca doit être celui qu’elle était censée chercher, François risque de lui courir après, il faut l’aider à se sortir de là, la belle poupée va finir par avoir des ennuis sinon, et c’est pas avec ses frusques qu’elle va éviter l’accostage.
elle se lève, et arrive aussitôt devant l’homme de main de Killian, ou Greg, selon les interlocuteurs, et comme elle ne sais pas ce que lui sait, donc elle s’en tiens à ce nom là. Difficile de faire mieux, pour barrer la route à quelqu’un qui compte rattraper une autre personne en fuite… Sortie de l’ombre, et plongeant à ses pieds pour le faire tomber, voilà une bonne longueur d’avance à attribuer à Mariana !
C’est donc une Lou allongée devant François, avec espoir de le voir piquer du nez sur elle et oublier la brunette jalouse avec le gamin, qui se retrouve à espérer sauver les meubles… Enfin… Pour les meubles c’était un peu trop tard, mais éviter d’avoir trop d’ennuis ce serait déjà une bonne chose, en espérant qu’il ne la ramènerait pas à l’auberge où se trouve Pierrot le mort, ou encore qu’il la bastonne pour l’avoir empêché de poursuivre la demoiselle ! Faignant être tombée par accident, et rouspétant avant qu’il ne le fasse pour l’accuser de tout :
Aiiiiiiiiiiiiiiie ! Heyyyyy tu peux pas faire attention ?
Ca va, déjà qu’elle pue l’alcool, non pas pour en avoir trop bu, mais avoir fait mine de le boire en s’en imprégnant sur les habits, elle accentue d’un *hips* volontaire qui dévoilait un pseudo état d’ébriété… Il s’agissait à présent d’être crédible aux yeux du brun, aussi ténébreux soit il !!
Là, ça aurait pas été le moment d’intervenir, une pure folie, mais au moment même où elle voulait le faire, la voilà qui prend la poudre d’escampe et file main dans la main avec un gamin ! Ca doit être celui qu’elle était censée chercher, François risque de lui courir après, il faut l’aider à se sortir de là, la belle poupée va finir par avoir des ennuis sinon, et c’est pas avec ses frusques qu’elle va éviter l’accostage.
elle se lève, et arrive aussitôt devant l’homme de main de Killian, ou Greg, selon les interlocuteurs, et comme elle ne sais pas ce que lui sait, donc elle s’en tiens à ce nom là. Difficile de faire mieux, pour barrer la route à quelqu’un qui compte rattraper une autre personne en fuite… Sortie de l’ombre, et plongeant à ses pieds pour le faire tomber, voilà une bonne longueur d’avance à attribuer à Mariana !
C’est donc une Lou allongée devant François, avec espoir de le voir piquer du nez sur elle et oublier la brunette jalouse avec le gamin, qui se retrouve à espérer sauver les meubles… Enfin… Pour les meubles c’était un peu trop tard, mais éviter d’avoir trop d’ennuis ce serait déjà une bonne chose, en espérant qu’il ne la ramènerait pas à l’auberge où se trouve Pierrot le mort, ou encore qu’il la bastonne pour l’avoir empêché de poursuivre la demoiselle ! Faignant être tombée par accident, et rouspétant avant qu’il ne le fasse pour l’accuser de tout :
Aiiiiiiiiiiiiiiie ! Heyyyyy tu peux pas faire attention ?
Ca va, déjà qu’elle pue l’alcool, non pas pour en avoir trop bu, mais avoir fait mine de le boire en s’en imprégnant sur les habits, elle accentue d’un *hips* volontaire qui dévoilait un pseudo état d’ébriété… Il s’agissait à présent d’être crédible aux yeux du brun, aussi ténébreux soit il !!
Re: [RP] La Cour des Miracles
Que s'est-il donc passé ? Il n'en savait trop rien, tout s'était passé si vite...Il avait senti des coups de pieds et de poings, bien que peu puissants, suffisamment surprenants pour le déstabiliser et lui faire lâcher prise. Lui qui espérait passer un bon moment venait de se trouver face à une cruelle désillusion, mais il n'abandonnait pas son idée pour autant.
Lorsqu'il reprit ses esprits, il vit deux silhouettes se sauver : la fille et un gamin. Il se mit en route pour les rattraper alors qu'ils parcourraient ce dédale de ruelles sombres. Lentement, il se rapprochait de sa cible quand soudain, il se prit les pieds dans quelque chose...Ou quelqu'un. Il se rattrapa tant bien que mal au mur qui se trouvait non loin avant de se retourner vers ce qui l'avait fait trébucher. La rousse que se trimbalait Killian était là, d'où elle sortait celle-là ??
Il regarda autour de lui à la recherche de "Nina" mais elle semblait avoir disparu. Il retourna vers la rousse, furieux et lui donna un violent coup de pied dans le ventre.
Parle autrement sale traînée.
Il se pencha et l'attrapa d'une main du niveau du cou, la relevant légèrement.
Je me demande ce que Killian te trouve, tu n'as vraiment rien d'intéressant.
Il baissa d'un ton et lui souffla à l'oreille : La prochaine fois, et j'espère pour toi qu'il n'y en aura pas, ça ne se passera pas de la même façon...
Il la relâcha non sans la repousser violemment et repartit dans la direction opposée, regardant dans chaque ruelle mais sans parvenir à voir où se trouvait sa cible.
[/quote]
Robert Starque- Marquis de Genlis
- Messages : 138
Points : 164
Date d'inscription : 10/10/2013
Re: [RP] La Cour des Miracles
Evidemment, ses jurons n’avaient eu aucun effet sur le François, le contraire aurait été étonnant, et malgré le coup de pied au ventre reçu, elle avait tout de même réussit son coup, Marianna et Diego avaient pu lui échapper, cependant…
Il n’en était pas de même pour elle, et ce n’était pas l’envie de l’étrangler qui lui manquait, car l’ayant mit en colère, ce fut d’abord un coup de pied dans le ventre et ensuite l’étranglement, avant que de la relâcher pour s’en aller !
Elle n’avait rien répondu, rien dit de plus, faignant d’être ivre, et cela aurait pu, si elle avait réellement été soumise à Killian et à Pierrot, mais, une fois sortie de ce dernier guêpier, elle ne songerait sans doute qu’à une chose… La liberté ! Et cette fois, rien ne l’empêcherait de vivre comme madame « tout le monde » !!!
Non rien d’intéressant… Ca c’était sûr, et elle saurait comment vivre ce qui serait son avenir dans les parages, éviter la cour des miracles, et les bordels qui avaient fait toute sa vie, après l’orphelinat, et cela juste pour retrouver sa mère ! Après tout, amochée comme elle l’était, ce n’était pas elle qui rapporterait du blé au moulin d’Elise, ni même ailleurs !
Une fois François partit, elle se releva, se tenant le ventre endolorit, ça n’arrangeait rien d’avoir prit un coup dedans, les points risquaient de sauter, ça ne faisait que trois semaines qu’elle avait été agressée par le Ruffian, un peu plus peut être, et le doc lui avait dit de faire attention. Se tenant aux murs sales, de ces ruelles glauques, elle parvint au bout de près d’une heure de marche épuisante, à quitter la cour, et de rejoindre un pont plus éclairé, loin des truands et des tumultes de ces rues dangereuses.
Où était elle ? Ca, elle n’en savait rien, et s’écroula sur un banc pour regarder le ciel en priant Pascal de l’avoir assisté ! Finalement, peut être existe-t-il vraiment ? Fermant les yeux, elle espère que Marianna et l’enfant s’en soient sortis, elle est jeune et belle, elle ne mérite pas de se retrouver coincée ici. Un sourire éclaire un instant son visage, repensant à Greg, et sourtout à comment il s’en était sortit avec la lingère !! ^^’
Il n’en était pas de même pour elle, et ce n’était pas l’envie de l’étrangler qui lui manquait, car l’ayant mit en colère, ce fut d’abord un coup de pied dans le ventre et ensuite l’étranglement, avant que de la relâcher pour s’en aller !
Elle n’avait rien répondu, rien dit de plus, faignant d’être ivre, et cela aurait pu, si elle avait réellement été soumise à Killian et à Pierrot, mais, une fois sortie de ce dernier guêpier, elle ne songerait sans doute qu’à une chose… La liberté ! Et cette fois, rien ne l’empêcherait de vivre comme madame « tout le monde » !!!
Non rien d’intéressant… Ca c’était sûr, et elle saurait comment vivre ce qui serait son avenir dans les parages, éviter la cour des miracles, et les bordels qui avaient fait toute sa vie, après l’orphelinat, et cela juste pour retrouver sa mère ! Après tout, amochée comme elle l’était, ce n’était pas elle qui rapporterait du blé au moulin d’Elise, ni même ailleurs !
Une fois François partit, elle se releva, se tenant le ventre endolorit, ça n’arrangeait rien d’avoir prit un coup dedans, les points risquaient de sauter, ça ne faisait que trois semaines qu’elle avait été agressée par le Ruffian, un peu plus peut être, et le doc lui avait dit de faire attention. Se tenant aux murs sales, de ces ruelles glauques, elle parvint au bout de près d’une heure de marche épuisante, à quitter la cour, et de rejoindre un pont plus éclairé, loin des truands et des tumultes de ces rues dangereuses.
Où était elle ? Ca, elle n’en savait rien, et s’écroula sur un banc pour regarder le ciel en priant Pascal de l’avoir assisté ! Finalement, peut être existe-t-il vraiment ? Fermant les yeux, elle espère que Marianna et l’enfant s’en soient sortis, elle est jeune et belle, elle ne mérite pas de se retrouver coincée ici. Un sourire éclaire un instant son visage, repensant à Greg, et sourtout à comment il s’en était sortit avec la lingère !! ^^’
Re: [RP] La Cour des Miracles
Je me retrouve à courir en tirant ma tante par la main et en espérant que l’homme n’aura pas le temps de réagir et de comprendre ce qu’il se passe. Nous zigzaguons dans la multitude de ruelles de la Cour des Miracles à la recherche d’un endroit où nous cacher lorsqu’enfin on s’arrête derrière un amoncellement de détritus qui me donnent la nausée.
Mariana me questionne et me voilà bien embêté, mais après tout, c’est de sa faute aussi si je me suis sauvé ! Je murmure au cas où on nous remarquerait, je n’ai pas envie que François nous tombe dessus.
Non ça va j’ai rien je vais bien ! Je sais me débrouiller et puis Gregory s’est occupé de moi. Ça fait longtemps que je sais que tu me mens sur lui, je t’ai entendu avec la Reine en parler et dire qu’il était ici alors je me suis débrouillé pour entrer et lui parler. Il croit que je m’appelle Didier, il sait pas qui je suis…Mais il m’a tout raconté et il m’a dit qu’il voulait me connaître ! Je suis sûr qu’il va venir avec ma mère, il a dit qu’il avait une femme, c’est sûrement elle !
Voilà que je ne m’arrête plus, j’ai tant de choses à dire et j’hésite en même temps entre la joie procurée d’avoir retrouvé mon père et de savoir qu’il veut me voir et la sensation désagréable qui m’étreint d’avoir menti à ma tante, d’avoir fugué mais également du fait qu’elle-même m’ait menti.
Je jette un œil au-dessus du tas de déchets pour voir s’il ne nous a pas suivis avant de continuer, sur un ton un peu plus triste.
Je crois que j’ai compris pourquoi tu m’as rien dit. Il m’a parlé, même si c’était vague, du fait qu’il était parti. Il ne voulait pas de moi je crois…
Je souris tristement tout en soupirant mais ce n’est pas le moment de pleurer sur mon sort, il faut qu’on sorte de là en espérant que François ne soit plus là.
Mariana me questionne et me voilà bien embêté, mais après tout, c’est de sa faute aussi si je me suis sauvé ! Je murmure au cas où on nous remarquerait, je n’ai pas envie que François nous tombe dessus.
Non ça va j’ai rien je vais bien ! Je sais me débrouiller et puis Gregory s’est occupé de moi. Ça fait longtemps que je sais que tu me mens sur lui, je t’ai entendu avec la Reine en parler et dire qu’il était ici alors je me suis débrouillé pour entrer et lui parler. Il croit que je m’appelle Didier, il sait pas qui je suis…Mais il m’a tout raconté et il m’a dit qu’il voulait me connaître ! Je suis sûr qu’il va venir avec ma mère, il a dit qu’il avait une femme, c’est sûrement elle !
Voilà que je ne m’arrête plus, j’ai tant de choses à dire et j’hésite en même temps entre la joie procurée d’avoir retrouvé mon père et de savoir qu’il veut me voir et la sensation désagréable qui m’étreint d’avoir menti à ma tante, d’avoir fugué mais également du fait qu’elle-même m’ait menti.
Je jette un œil au-dessus du tas de déchets pour voir s’il ne nous a pas suivis avant de continuer, sur un ton un peu plus triste.
Je crois que j’ai compris pourquoi tu m’as rien dit. Il m’a parlé, même si c’était vague, du fait qu’il était parti. Il ne voulait pas de moi je crois…
Je souris tristement tout en soupirant mais ce n’est pas le moment de pleurer sur mon sort, il faut qu’on sorte de là en espérant que François ne soit plus là.
Christian- Messages : 24
Points : 28
Date d'inscription : 17/11/2013
Localisation : Avec Romane et Edouard
Re: [RP] La Cour des Miracles
Elle insiste avec son verre, elle est pénible la vieille, comme si j'avais le temps de faire dans la dentelle ! Quand elle y revient je finis par le prendre et l'avale d'une traite, ça c'est fait et j'aurais la paix ! C'est que je commence à perdre patience, va savoir ce qu'il se passe là-bas pendant que je suis là.
Je la regarde prête à s'allonger, en même temps, qui ne le serait pas avec moi ?! Non, aucune prétention, juste la réalité ! En tous cas, je ne vais pas m'attarder, elle s'installe, je prends les rubans et attrape son poignet pour l'attacher au lit avant d'en faire autant avec le deuxième. Je serre bien les liens, il ne faudrait pas qu'elle arrive à se détacher. Quand je me suis assuré que tout est bon, je quitte la pièce en lui disant que je reviens, ce que je ne compte pas faire. Il me faut me dépêcher pour retourner là-bas et retrouver Mariana.
Je cherche après une plume et un vélin et écrit quelques mots à l'attention de ses employées que je pose sur le comptoir avec quelques pièces d'or.
Je la regarde prête à s'allonger, en même temps, qui ne le serait pas avec moi ?! Non, aucune prétention, juste la réalité ! En tous cas, je ne vais pas m'attarder, elle s'installe, je prends les rubans et attrape son poignet pour l'attacher au lit avant d'en faire autant avec le deuxième. Je serre bien les liens, il ne faudrait pas qu'elle arrive à se détacher. Quand je me suis assuré que tout est bon, je quitte la pièce en lui disant que je reviens, ce que je ne compte pas faire. Il me faut me dépêcher pour retourner là-bas et retrouver Mariana.
Je cherche après une plume et un vélin et écrit quelques mots à l'attention de ses employées que je pose sur le comptoir avec quelques pièces d'or.
Elles vont sans doute en rire ses employées qui doivent sans doute être exploitées vu la bonne femme. Je me dépêche de quitter les lieux et de repartir vers la Cour des Miracles. Je me dirige vers le quartier où traîne Didier, Mariana et François sont sans doute partis par-là...Votre dépravée de patronne est attachée dans la chambre, soyez mignonnes et laissez-la là-bas quelques heures, ça la calmera !
Gregory Sandre- Messages : 169
Points : 183
Date d'inscription : 05/10/2013
Re: [RP] La Cour des Miracles
Mariana le serrait fort contre elle, soulagée de le voir sain et sauf. Oh mais il serait bien entendu puni, mais l'heure était aux retrouvailles qui, hélas seraient de courte durée. Il leur fallait encore sortir de cet endroit sordide.
Greg les avait confiés à son homme de mains, mais finalement ils devront se débrouiller seuls. Ils attendraient encore un peu, malgré l'odeur nauséabonde qui manquait à chaque instant de faire rendre à Mariana ses précédents repas.
Elle regardait Diego un instant, avec un brin de nostalgie dans les yeux. Ce qu'il avait grandit. Où était ce minuscule petit bonhomme sale que sa soeur lui avait amenée un jour ? Pauvre Carmen qui n'avait jamais su s'occuper d'elle alors d'un bambin c'était inenvisageable. Quand elle n'oubliait pas de lui donner à manger, elle oubliait de le laver et de le changer.
Elle avait alors récolté un petit garçon sauvage, cracra ne parlant pas un mot de français mais un espagnol très très approximatif et qui ne pouvait donc communiquer qu'avec sa dépressive de tante. Et aujourd'hui c'était devenu un beau gamin, gentil, malin voire plutôt rusé, et pas loin de devenir un homme. Mais pas maintenant, tout cela va trop vite, elle n'est pas encore prête la Mariana !
C'est vrai que tu es débrouillard, je n'en ai jamais douté. Mais c'est dangereux ici. Pourquoi n'es-tu pas venu m'en parler dès que tu as su ?
Je voulais te protéger, j'attendais le bon moment pour te parler de tout cela, je suis désolée mon Diego, j'aurais peut-être dû te dire la vérité. J'ignorais que Gregory reviendrait tout comme je ne savais pas qu'il pouvait te manquer à ce point, je croyais que tu étais heureux avec moi.
Elle lui sourit tristement, elle avait voulu faire au mieux, tant pour lui que pour elle. Elle avait sans doute était égoïste, si au fil des années elle l'avait considéré comme son fils et l'aimait comme tel, il fallait se rendre à l'évidence qu'il ne l'était pas vraiment. En lui disant la vérité, elle avait eu peur qu'il parte un jour à la recherche de Gregory et de Carmen. Elle, elle n'était qu'une mère de substitution pour lui, tôt ou tard il aurait voulu savoir d'où il venait exactement, et malgré les manoeuvres désespérées pour repousser l'échéance, ce jour était arrivé.
Oui il a bien quelqu'un dans sa vie mais tu sais ta mère est...enfin comment dire. Elle n'est pas comme tout le monde, elle vit dans un univers bien à elle, et il n'y a pas beaucoup de place pour les autres. Mais Gregory a changé lui et si à un moment il ne voulait pas être père, il a réellement envie de te connaître aujourd'hui et nous avions prévu une rencontre entre-vous pour t'expliquer tout cela.
Comment lui dire que son père était en réalité amoureux de sa tante et réciproquement, lui qui semble espérer une réunion de famille normale ?
La question ne se posa pas longtemps quand elle crut apercevoir François au loin.
On en parlera ailleurs...Didier ? Mais où donc as-tu pu trouver un nom aussi...pourri ?
Elle rit doucement et prit sa main pour s'extirper de leur cachette, tentant de faire moins de bruit que les rongeurs qui leur tenaient compagnie et qui lui donnaient froid dans le dos, manquant de la faire hurler à chaque instant.
Greg les avait confiés à son homme de mains, mais finalement ils devront se débrouiller seuls. Ils attendraient encore un peu, malgré l'odeur nauséabonde qui manquait à chaque instant de faire rendre à Mariana ses précédents repas.
Elle regardait Diego un instant, avec un brin de nostalgie dans les yeux. Ce qu'il avait grandit. Où était ce minuscule petit bonhomme sale que sa soeur lui avait amenée un jour ? Pauvre Carmen qui n'avait jamais su s'occuper d'elle alors d'un bambin c'était inenvisageable. Quand elle n'oubliait pas de lui donner à manger, elle oubliait de le laver et de le changer.
Elle avait alors récolté un petit garçon sauvage, cracra ne parlant pas un mot de français mais un espagnol très très approximatif et qui ne pouvait donc communiquer qu'avec sa dépressive de tante. Et aujourd'hui c'était devenu un beau gamin, gentil, malin voire plutôt rusé, et pas loin de devenir un homme. Mais pas maintenant, tout cela va trop vite, elle n'est pas encore prête la Mariana !
C'est vrai que tu es débrouillard, je n'en ai jamais douté. Mais c'est dangereux ici. Pourquoi n'es-tu pas venu m'en parler dès que tu as su ?
Je voulais te protéger, j'attendais le bon moment pour te parler de tout cela, je suis désolée mon Diego, j'aurais peut-être dû te dire la vérité. J'ignorais que Gregory reviendrait tout comme je ne savais pas qu'il pouvait te manquer à ce point, je croyais que tu étais heureux avec moi.
Elle lui sourit tristement, elle avait voulu faire au mieux, tant pour lui que pour elle. Elle avait sans doute était égoïste, si au fil des années elle l'avait considéré comme son fils et l'aimait comme tel, il fallait se rendre à l'évidence qu'il ne l'était pas vraiment. En lui disant la vérité, elle avait eu peur qu'il parte un jour à la recherche de Gregory et de Carmen. Elle, elle n'était qu'une mère de substitution pour lui, tôt ou tard il aurait voulu savoir d'où il venait exactement, et malgré les manoeuvres désespérées pour repousser l'échéance, ce jour était arrivé.
Oui il a bien quelqu'un dans sa vie mais tu sais ta mère est...enfin comment dire. Elle n'est pas comme tout le monde, elle vit dans un univers bien à elle, et il n'y a pas beaucoup de place pour les autres. Mais Gregory a changé lui et si à un moment il ne voulait pas être père, il a réellement envie de te connaître aujourd'hui et nous avions prévu une rencontre entre-vous pour t'expliquer tout cela.
Comment lui dire que son père était en réalité amoureux de sa tante et réciproquement, lui qui semble espérer une réunion de famille normale ?
La question ne se posa pas longtemps quand elle crut apercevoir François au loin.
On en parlera ailleurs...Didier ? Mais où donc as-tu pu trouver un nom aussi...pourri ?
Elle rit doucement et prit sa main pour s'extirper de leur cachette, tentant de faire moins de bruit que les rongeurs qui leur tenaient compagnie et qui lui donnaient froid dans le dos, manquant de la faire hurler à chaque instant.
Mariana.- Messages : 110
Points : 125
Date d'inscription : 06/10/2013
Re: [RP] La Cour des Miracles
Toujours dissimulés derrière ce mont de détritus, ma tante commence à me répondre en me disant qu'elle voulait me protéger...Ben oui je veux bien mais bon je suis plus un bébé, j'ai plus cinq ans ! Je la regarde, un peu penaud de l'avoir entraînée là-dedans et de lui avoir fait peur.
Je suis désolé tata...Je suis bien avec toi mais...J'étais en colère quand j'ai su qu'il était toujours vivant et que tu m'avais menti. J'ai pas réfléchit et comme j'ai eu une opportunité pour venir ici ben je l'ai saisie. Je voulais pas te faire peur, excuses-moi.
Elle continue en me parlant de ma mère, apparemment, mes parents ne sont pas ensemble, il est avec une autre femme...Et si elle ne m'accepte pas ? Lui a déjà du mal alors comment ça va se passer ? Je soupire légèrement en entendant ça et me lève quand elle me tend la main pour partir. Je glisse ma main dans la sienne et la suit en essayant de retenir mon rire quand elle me dit que ce prénom est pourri, je n'aurais pas dit mieux en fait.
Ben j'ai failli lui dire mon vrai prénom...Alors j'ai essayé de rectifier le tir et c'est le seul truc français en "Di" qui m'est venu...C'est vrai que c'est pourri ! Et tu sais, lui, il se fait appeler Killian ici, il m'a dit que c'était le prénom de son père, tu crois que je vais le rencontrer aussi ?
On se dirige vers ce qu'on croit et espère être la sortie en faisant bien attention aux gens qu'on croise, il ne manquerait plus qu'on tombe sur François !
Je suis désolé tata...Je suis bien avec toi mais...J'étais en colère quand j'ai su qu'il était toujours vivant et que tu m'avais menti. J'ai pas réfléchit et comme j'ai eu une opportunité pour venir ici ben je l'ai saisie. Je voulais pas te faire peur, excuses-moi.
Elle continue en me parlant de ma mère, apparemment, mes parents ne sont pas ensemble, il est avec une autre femme...Et si elle ne m'accepte pas ? Lui a déjà du mal alors comment ça va se passer ? Je soupire légèrement en entendant ça et me lève quand elle me tend la main pour partir. Je glisse ma main dans la sienne et la suit en essayant de retenir mon rire quand elle me dit que ce prénom est pourri, je n'aurais pas dit mieux en fait.
Ben j'ai failli lui dire mon vrai prénom...Alors j'ai essayé de rectifier le tir et c'est le seul truc français en "Di" qui m'est venu...C'est vrai que c'est pourri ! Et tu sais, lui, il se fait appeler Killian ici, il m'a dit que c'était le prénom de son père, tu crois que je vais le rencontrer aussi ?
On se dirige vers ce qu'on croit et espère être la sortie en faisant bien attention aux gens qu'on croise, il ne manquerait plus qu'on tombe sur François !
Christian- Messages : 24
Points : 28
Date d'inscription : 17/11/2013
Localisation : Avec Romane et Edouard
Re: [RP] La Cour des Miracles
En se réveillant, après une nuit qui ne fut guère reposante, Eretria avait finalement pris une décision : Il était temps pour elle de cesser de faire le tapin et de trouver une occupation moins contraignante. Elle était lasse de déambuler dans les ruelles, le menton crâneusement levé et les jupes ramassées pour dévoiler ses jambes halées. Plusieurs années déjà qu'elle survivait de menus larcin et de passes. Son gout pour la chose était modéré, mais la Méditerranéenne se savait assez exotique pour gagner sa croûte sans trop d'effort.
Avec ses larges yeux noirs et ses boucles d'ébène qui retombaient en lourdes grappes sur ses hanches, Erétria avait un je-ne-sais-quoi d'Espagnol, bien qu'elle n'ai aucune certitude quand à ses origines. Pour appâter le client, la belle s'était prêté des origines Égyptiennes, jouant d'artifices pour agrandir encore son regard et souligner ses lippes charnues. Il n'y avait pas un soldat Parisien qui ne se soit disputé ses charmes. Et pas un qui oserait le reconnaître, une fois les culottes remontés et les bougies soufflées.
Tout à ses pensées, la Gitane se dirigeait vers le fief de la cour des Miracles, indifférentes aux regards que lui attirait sa démarche chaloupée et le tintinnabulement des cercles d'or qui lui enserraient les poignets et les chevilles. Il lui fallait absolument se trouver une guilde, ou un protecteur, pour cesser de gagner sa vie avec son croupion. Bien que leste et rapide, Eretria ne volait que par amusement et affichait avec ostentation les reliquats de ses larcins. Les chaines à ses oreilles, par exemple, ou le pendentif en forme de lune qui reposait entre ses seins. Mais que faire d'autre? Travailler?
Quel ennui !
Avec ses larges yeux noirs et ses boucles d'ébène qui retombaient en lourdes grappes sur ses hanches, Erétria avait un je-ne-sais-quoi d'Espagnol, bien qu'elle n'ai aucune certitude quand à ses origines. Pour appâter le client, la belle s'était prêté des origines Égyptiennes, jouant d'artifices pour agrandir encore son regard et souligner ses lippes charnues. Il n'y avait pas un soldat Parisien qui ne se soit disputé ses charmes. Et pas un qui oserait le reconnaître, une fois les culottes remontés et les bougies soufflées.
Tout à ses pensées, la Gitane se dirigeait vers le fief de la cour des Miracles, indifférentes aux regards que lui attirait sa démarche chaloupée et le tintinnabulement des cercles d'or qui lui enserraient les poignets et les chevilles. Il lui fallait absolument se trouver une guilde, ou un protecteur, pour cesser de gagner sa vie avec son croupion. Bien que leste et rapide, Eretria ne volait que par amusement et affichait avec ostentation les reliquats de ses larcins. Les chaines à ses oreilles, par exemple, ou le pendentif en forme de lune qui reposait entre ses seins. Mais que faire d'autre? Travailler?
Quel ennui !
Eretria- Messages : 19
Points : 23
Date d'inscription : 07/11/2014
Re: [RP] La Cour des Miracles
Killian et sa Reine avaient tenu parole, Julien, son fiancé avait été libéré de la Bastille où il avait été si injustement enfermé. Elle ne savait pas comment mais ses cartes étaient claires ! Un étranger leur viendrait en aide et elle saurait l'en remercier en lui rendant la pareille.
Julien était faible, il avait été battu et mal nourrit, et depuis sa libération, faute d'autres moyens financiers, il avait dû être placé en hospice pour se soigner de maladies contractées durant sa détention. Solenza était donc restée à la Cour des Miracles le temps de la guérison de son fiancé.
Elle avait encore à y faire, notamment aider Killian Jones ou quel que soit son nom. Elle avait intercédé en sa faveur auprès du Roi de la Cour, mais c'était peu au vu du service rendu.
Elle l'ignorait encore en cet instant, mais son tour arrivait ! Alors qu'elle jetait un panier chargé de détritus diverses, d'épluchures de pauvres fruits gâtés, elle entendit l'amoncellement de déchets parler et s'agiter, et une chose est sûre, il ne s'agissait pas de rats. Du moins pas de ceux auxquels on pense. Sans doute des gamins en recherche de restes de nourritures, et Solenza n'y prêta guère attention, avant d'apercevoir le gosse croisé auparavant, qui cherchait Killian. Il n'était pas seul, il serrait la main d'une jeune femme, à première vue l'une des nombreuses prostituées que comportent la Cour.
Vous faites quoi là ? T'es pas trop jeune pour te cacher avec des catins dans les coins ? Allez ailleurs que devant chez moi, la Belle-Fesse c'est pas loin !
Il n'y avait plus de jeunesse ! Et il ne fallait pas se gêner pour sauter une fille de joie devant sa maison ! Elle ne savait pas s'ils avaient compris son accent trop prononcé, elle avait vraiment du mal avec cette maudite langue compliqué qu'est le français ! Elle s'apprêtait à faire demi-tour pour rentrer, mais quelque-chose la turlupinait dans tout cela. Elle ne saurait dire quoi, mais elle avait trouvé ce gamin étrange lors de leur première rencontre mais plus encore maintenant, et cette fille ne ressemblait en rien aux filles qu'elle avait l'habitude de côtoyer ici.
Julien était faible, il avait été battu et mal nourrit, et depuis sa libération, faute d'autres moyens financiers, il avait dû être placé en hospice pour se soigner de maladies contractées durant sa détention. Solenza était donc restée à la Cour des Miracles le temps de la guérison de son fiancé.
Elle avait encore à y faire, notamment aider Killian Jones ou quel que soit son nom. Elle avait intercédé en sa faveur auprès du Roi de la Cour, mais c'était peu au vu du service rendu.
Elle l'ignorait encore en cet instant, mais son tour arrivait ! Alors qu'elle jetait un panier chargé de détritus diverses, d'épluchures de pauvres fruits gâtés, elle entendit l'amoncellement de déchets parler et s'agiter, et une chose est sûre, il ne s'agissait pas de rats. Du moins pas de ceux auxquels on pense. Sans doute des gamins en recherche de restes de nourritures, et Solenza n'y prêta guère attention, avant d'apercevoir le gosse croisé auparavant, qui cherchait Killian. Il n'était pas seul, il serrait la main d'une jeune femme, à première vue l'une des nombreuses prostituées que comportent la Cour.
Vous faites quoi là ? T'es pas trop jeune pour te cacher avec des catins dans les coins ? Allez ailleurs que devant chez moi, la Belle-Fesse c'est pas loin !
Il n'y avait plus de jeunesse ! Et il ne fallait pas se gêner pour sauter une fille de joie devant sa maison ! Elle ne savait pas s'ils avaient compris son accent trop prononcé, elle avait vraiment du mal avec cette maudite langue compliqué qu'est le français ! Elle s'apprêtait à faire demi-tour pour rentrer, mais quelque-chose la turlupinait dans tout cela. Elle ne saurait dire quoi, mais elle avait trouvé ce gamin étrange lors de leur première rencontre mais plus encore maintenant, et cette fille ne ressemblait en rien aux filles qu'elle avait l'habitude de côtoyer ici.
Toinette- Messages : 19
Points : 21
Date d'inscription : 14/12/2013
Re: [RP] La Cour des Miracles
Il boit, et m’attache au lit fermement, par contre je ne comprends rien à ce qu’il dit, puisque je m’endors sous l’effet de la potion, le docteur m’avait bien affirmé qu’avec ça j’aurais une nuit de profond sommeil, sauf que le temps de réaliser que celle-ci était dans le verre que j’avais avalé, c’était trop tard.
Les poignets ligotés comme il faut, me voilà endormie à ronfler comme un poupon ! Je crois bien n’avoir jamais autant bien dormit de ma vie, et pour preuve, le rêve que je faisais, alors que j’étais persuadée d’être réveillée… Grégory… mmmmmmm
Le rêve :
« Sourire épanoui, il fait de moi la femme la plus heureuse de Paris, assouvissant tous mes fantasmes… Ses mains sont curieuses et avides de caresses, parcourant tout mon corps et en tout endroit, à tel point que durant ce moment dans les bras de Morphée, je gémis, je cris, j’hurle même son nom, en me tortillant en tous sens, alors que la réalité est toute autre, mon galant bellâtre s’était enfuit et moi je croyais dur comme fer, que les songes portés à l’accomplissement de l’acte, était la seule réalité ! »
Quelques heures plus tard, soit le lendemain matin, réveillée avec un mal de crâne terrible, l’entrecuisse laissant croire que l’homme avait accomplit les gestes tant espérés, me voilà attachée au lit du pêché, et seule qui plus est... Je fonds en larmes en pensant qu’il m’avait oublié, ou encore qu’il était partit après avoir obtenu ce qu’il voulait de mon corps ! Oh ? Ma canaille ! M’aimerait il donc tant que cela ? Il voulait juste me posséder ? Et fuir pour mieux me retrouver !
J’appelle Gustave en criant bien fort, alors que derrière la porte ricanent des voix féminines, le vieux bougre de cocher entre, je le sais désireux de ma personne, et alors qu’il doit me détacher, il me baillonne pour se servir, avant de me libérer en me condamnant à lui obéir, sous peine de raconter dans quelle posture il venait de me trouver ! Cette situation ne me priva pas d’ambitions, à savoir de retrouver l’homme que j’aime, mais en attendant, cela me permet de vivre quelques aventures gratifiantes, après tout, il n’est pas si vieux que moi, à peine deux années de plus !
Les poignets ligotés comme il faut, me voilà endormie à ronfler comme un poupon ! Je crois bien n’avoir jamais autant bien dormit de ma vie, et pour preuve, le rêve que je faisais, alors que j’étais persuadée d’être réveillée… Grégory… mmmmmmm
Le rêve :
« Sourire épanoui, il fait de moi la femme la plus heureuse de Paris, assouvissant tous mes fantasmes… Ses mains sont curieuses et avides de caresses, parcourant tout mon corps et en tout endroit, à tel point que durant ce moment dans les bras de Morphée, je gémis, je cris, j’hurle même son nom, en me tortillant en tous sens, alors que la réalité est toute autre, mon galant bellâtre s’était enfuit et moi je croyais dur comme fer, que les songes portés à l’accomplissement de l’acte, était la seule réalité ! »
Quelques heures plus tard, soit le lendemain matin, réveillée avec un mal de crâne terrible, l’entrecuisse laissant croire que l’homme avait accomplit les gestes tant espérés, me voilà attachée au lit du pêché, et seule qui plus est... Je fonds en larmes en pensant qu’il m’avait oublié, ou encore qu’il était partit après avoir obtenu ce qu’il voulait de mon corps ! Oh ? Ma canaille ! M’aimerait il donc tant que cela ? Il voulait juste me posséder ? Et fuir pour mieux me retrouver !
J’appelle Gustave en criant bien fort, alors que derrière la porte ricanent des voix féminines, le vieux bougre de cocher entre, je le sais désireux de ma personne, et alors qu’il doit me détacher, il me baillonne pour se servir, avant de me libérer en me condamnant à lui obéir, sous peine de raconter dans quelle posture il venait de me trouver ! Cette situation ne me priva pas d’ambitions, à savoir de retrouver l’homme que j’aime, mais en attendant, cela me permet de vivre quelques aventures gratifiantes, après tout, il n’est pas si vieux que moi, à peine deux années de plus !
Dona Selena Gamberotti- Messages : 20
Points : 20
Date d'inscription : 07/07/2014
Re: [RP] La Cour des Miracles
Je maudis cette vieille chouette intérieurement, comment je vais retrouver Mariana et Diego maintenant ? La cour des Miracles est grande et on risque de tomber sur n'importe qui à chaque coin de rue. La seule chose qui me rassure un peu c'est que François est avec elle, mais ça, c'est parce que je ne me doute pas de ce qu'il a tenté de faire.
Je parcours le dédale de ces rues sombres et crasseuses quand je crois apercevoir au loin Mariana. Une longue tignasse brune, de jolies formes...Et un habit de catin, non mais quelle idée elle a eue de venir ici ! On dirait qu'elle est seule, où est donc François ? Et Diego ? Elle ne l'a toujours pas retrouvé ? Pour moi ce sera compliqué puisque je ne l'ai pas vu depuis huit ans le gamin. J'arrive derrière la brune et l'attrape par le bras pour l'arrêter dans son élan.
Comment ça se fait que...
Je m'arrête en découvrant le visage de la fille, si Mariana savait que je l'ai confondue avec ce qui semble être une véritable catin, je crois qu'elle m'étranglerait. Je la lâche quand je comprends que ce n'est pas la personne que je cherche.
Hum...Tu n'aurais pas vu une espagnole ? Elle a un peu ton genre, elle était avec un homme à la recherche d'un gamin d'une dizaine d'années.
Après tout, sait-on jamais, elle sait peut-être où sont les gens que je cherche.
Je parcours le dédale de ces rues sombres et crasseuses quand je crois apercevoir au loin Mariana. Une longue tignasse brune, de jolies formes...Et un habit de catin, non mais quelle idée elle a eue de venir ici ! On dirait qu'elle est seule, où est donc François ? Et Diego ? Elle ne l'a toujours pas retrouvé ? Pour moi ce sera compliqué puisque je ne l'ai pas vu depuis huit ans le gamin. J'arrive derrière la brune et l'attrape par le bras pour l'arrêter dans son élan.
Comment ça se fait que...
Je m'arrête en découvrant le visage de la fille, si Mariana savait que je l'ai confondue avec ce qui semble être une véritable catin, je crois qu'elle m'étranglerait. Je la lâche quand je comprends que ce n'est pas la personne que je cherche.
Hum...Tu n'aurais pas vu une espagnole ? Elle a un peu ton genre, elle était avec un homme à la recherche d'un gamin d'une dizaine d'années.
Après tout, sait-on jamais, elle sait peut-être où sont les gens que je cherche.
Gregory Sandre- Messages : 169
Points : 183
Date d'inscription : 05/10/2013
Re: [RP] La Cour des Miracles
On ne pouvait pas faire la putain depuis plusieurs années sans acquérir de solides réflexes. A peine l'inconnu lui avait il attrapé le bras qu'Eretria tira un couteau de sa jarretière avant de le repousser violemment contre le mur et de lui coller la lame sous la gorge.
- On touche avec les yeux, Beau gosse.
Ouais. Il avait du charme, pour peu qu'on apprécie le genre minet. En l'entendant l'interroger sur une femme brune, la Gitane comprit la méprise et abaissa son arme, un sourire carnassier aux lèvres.
- P'têtre que je l'ai vu, ouais. Mais je m'en souviens pas.
L'Egyptienne, à force d'excès en tous genre, avait une voix marqué par la vie, légèrement voilé, et la diction hachée des faubourgs Parisiens, dénués, pour le coup, de l'accent exotique qu'elle prenait pour appâter le client. Les poings sur les hanches, elle le toisa malgré sa petite taille, et glissa la langue sur sa lippe comme un chat lapant une soucoupe de lait.
- R'marque, le délicat tintement des écus qui s'entrechoquent à le don de me rafraîchir la mémoire, en général. Tu devrais essayer, Beau Gosse.
Paume ouverte, Eretria tendit la main vers lui pour le cas ou il serait assez stupide pour monnayer un renseignement qu'elle ne possédait pas. Des brunes et des marmots, la Gitane en croisait à tous les coins de rue et ne perdait pas de son précieux temps pour les dévisager.
- On touche avec les yeux, Beau gosse.
Ouais. Il avait du charme, pour peu qu'on apprécie le genre minet. En l'entendant l'interroger sur une femme brune, la Gitane comprit la méprise et abaissa son arme, un sourire carnassier aux lèvres.
- P'têtre que je l'ai vu, ouais. Mais je m'en souviens pas.
L'Egyptienne, à force d'excès en tous genre, avait une voix marqué par la vie, légèrement voilé, et la diction hachée des faubourgs Parisiens, dénués, pour le coup, de l'accent exotique qu'elle prenait pour appâter le client. Les poings sur les hanches, elle le toisa malgré sa petite taille, et glissa la langue sur sa lippe comme un chat lapant une soucoupe de lait.
- R'marque, le délicat tintement des écus qui s'entrechoquent à le don de me rafraîchir la mémoire, en général. Tu devrais essayer, Beau Gosse.
Paume ouverte, Eretria tendit la main vers lui pour le cas ou il serait assez stupide pour monnayer un renseignement qu'elle ne possédait pas. Des brunes et des marmots, la Gitane en croisait à tous les coins de rue et ne perdait pas de son précieux temps pour les dévisager.
Eretria- Messages : 19
Points : 23
Date d'inscription : 07/11/2014
Re: [RP] La Cour des Miracles
Comme on me dit souvent : J'ai un don pour me faire des amis. Je ne me suis pas tellement méfié, une fille seule, pas bien grand ni épaisse n'a rien de spécialement effrayant. Comme quoi, il ne faut pas se fier aux apparences car en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, elle me plaque contre le mur et me menace d'une arme.
Je sens la lame froide qui se pose sur ma gorge mais je ne perds pas pieds pour autant, ce n'est pas comme si c'était la première fois que je me faisais menacer ou que je manquais de me faire tuer, ce qui finira bien par arriver dans tous les cas. Fidèle à moi-même je rétorque :
Belle et sauvage, tout ce que j'aime...
Je lui demande alors si elle sait où est celle que je cherche et la maligne me demande de l'argent. Je la regarde avec un petit sourire amusé alors qu'elle me libère. Au moins, maintenant, je suis fixé et je me méfierais un peu plus, après tout nous sommes aux Miracles, il y a de tout ici même si habituellement les catins me font meilleur accueil !
Je n'ai pas pour habitude de payer pour obtenir quelque chose, je prends ce qui m'intéresse directement,
Je la détaille de haut en bas tout en disant ça mais je me ressaisis rapidement, ce n'est pas le moment de traîner il y a Mariana et Diego qui sont je ne sais où et que je dois me dépêcher de retrouver avant qu'il ne leur arrive des bricoles.
Tu ne sais peut-être même pas où sont ceux que je cherche.
Je me détourne d'elle et amorce un mouvement pour m'éloigner, avec un peu de chance, si elle sait vraiment quelque chose, elle me retiendra pour me proposer autre chose.
Je sens la lame froide qui se pose sur ma gorge mais je ne perds pas pieds pour autant, ce n'est pas comme si c'était la première fois que je me faisais menacer ou que je manquais de me faire tuer, ce qui finira bien par arriver dans tous les cas. Fidèle à moi-même je rétorque :
Belle et sauvage, tout ce que j'aime...
Je lui demande alors si elle sait où est celle que je cherche et la maligne me demande de l'argent. Je la regarde avec un petit sourire amusé alors qu'elle me libère. Au moins, maintenant, je suis fixé et je me méfierais un peu plus, après tout nous sommes aux Miracles, il y a de tout ici même si habituellement les catins me font meilleur accueil !
Je n'ai pas pour habitude de payer pour obtenir quelque chose, je prends ce qui m'intéresse directement,
Je la détaille de haut en bas tout en disant ça mais je me ressaisis rapidement, ce n'est pas le moment de traîner il y a Mariana et Diego qui sont je ne sais où et que je dois me dépêcher de retrouver avant qu'il ne leur arrive des bricoles.
Tu ne sais peut-être même pas où sont ceux que je cherche.
Je me détourne d'elle et amorce un mouvement pour m'éloigner, avec un peu de chance, si elle sait vraiment quelque chose, elle me retiendra pour me proposer autre chose.
Gregory Sandre- Messages : 169
Points : 183
Date d'inscription : 05/10/2013
Re: [RP] La Cour des Miracles
Et merde.
Manifestement, ce mec n'était pas un gogo, un pigeon que la Gitane pouvait plumer avant de retourner à ses occupations. Alors pourquoi ne pas lui proposer un service plus... Personnel? Avec un soupir agacé, Eretria lui emboîta le pas pour glisser un bras sous le sien, câline.
- Tu prends c'que tu désires, beau gosse? Pour toi, je pourrais faire un prix... Il y une ruelle là bas, qui pue le chat crevé mais qui est toujours tranquille... Tu l'regretterais pas... Chéri.
La main brune glissa sur le bras de l'inconnu avant de lui flatter le gorge.
- Ensuite, on aura tout l'temps de chercher ton Espagnole. Et puis qu'est ce qu'elle ficherait ici, hein? Pas un endroit pour les minettes ici, et encore moins pour les mioches... Imagine un peu qu'elle tombe sur une nana comme moi...
L'Egyptienne lui adressa un sourire carnassier et son regard de velours se fit caressant, bien qu'elle ne sois pas dupe. Le beau brun n'était pas d'humeur à batifoler. Dommage, ça l'aurait changé des soldats ventripotents et des infirmes.
- Il faut mieux surveiller ses affaires, Beau Gosse. Au risque de se faire voler femmes, enfants et bouses...
Manifestement, ce mec n'était pas un gogo, un pigeon que la Gitane pouvait plumer avant de retourner à ses occupations. Alors pourquoi ne pas lui proposer un service plus... Personnel? Avec un soupir agacé, Eretria lui emboîta le pas pour glisser un bras sous le sien, câline.
- Tu prends c'que tu désires, beau gosse? Pour toi, je pourrais faire un prix... Il y une ruelle là bas, qui pue le chat crevé mais qui est toujours tranquille... Tu l'regretterais pas... Chéri.
La main brune glissa sur le bras de l'inconnu avant de lui flatter le gorge.
- Ensuite, on aura tout l'temps de chercher ton Espagnole. Et puis qu'est ce qu'elle ficherait ici, hein? Pas un endroit pour les minettes ici, et encore moins pour les mioches... Imagine un peu qu'elle tombe sur une nana comme moi...
L'Egyptienne lui adressa un sourire carnassier et son regard de velours se fit caressant, bien qu'elle ne sois pas dupe. Le beau brun n'était pas d'humeur à batifoler. Dommage, ça l'aurait changé des soldats ventripotents et des infirmes.
- Il faut mieux surveiller ses affaires, Beau Gosse. Au risque de se faire voler femmes, enfants et bouses...
Eretria- Messages : 19
Points : 23
Date d'inscription : 07/11/2014
Page 7 sur 8 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
Sujets similaires
» [Proposition de RP] La Cour des Miracles
» [RP] Un jeune "voyou" à la Cour des Miracles
» [RP] M. Louchel, surintendant de la Cour
» [RP] Un jeune "voyou" à la Cour des Miracles
» [RP] M. Louchel, surintendant de la Cour
Page 7 sur 8
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|